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Les greffiers ne croient plus à leur réforme
Les greffiers ne croient plus à leur réforme
Après près de trois mois, le mouvement de grève s’essouffle. Les syndicats ont quitté la table des négociations et soupçonnent la Chancellerie de « jouer la montre ».
par Julien Mucchiellile 26 juin 2014

L’épilogue du mouvement social des greffiers s’annonce houleux. Parti en avril de la cour d’appel d’Agen, le mouvement « greffiers en colère » s’était étendu à toute la France, prenant la forme de regroupement ponctuels sur les marches ou le parvis de leur palais, de greffiers brandissant pancartes et scandant leur mécontentement. Plus de dix ans qu’ils n’avaient bénéficié d’aucune revalorisation salariale, les « petites mains de la justice », « l’armée des ombres » étaient à bout.
La manifestation nationale du 29 avril (voir notre article), où plusieurs milliers de greffiers ont défilé jusqu’à la place Vendôme, laissait présager l’ouverture de fructueuses négociations grâce à l’ampleur du mouvement. Las, près de deux mois plus tard, le bilan est maigre.
Les négociations, qui doivent s’achever aujourd’hui, piétinent depuis la réunion du 5 juin entre les organisations syndicales et la direction des services judiciaires (DSJ). A cette date et au 11, 12 et 19 juin, l’Unsa services judiciaires (majoritaire) indique que la DSJ n’a...
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