- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Le juge doit écarter les clauses illégales du contrat d’un contractuel défavorables à celui-ci
Le juge doit écarter les clauses illégales du contrat d’un contractuel défavorables à celui-ci
Le juge est tenu, pour établir les droits d’un agent contractuel, d’écarter les clauses de son contrat qui lui sont défavorables et sont entachées d’irrégularité, affirme le Conseil d’État dans un arrêt du 30 mars 2016.
par Marie-Christine de Monteclerle 5 avril 2016
Mme A., psychologue, était employée par la commune de Saint-Denis depuis 1982 et bénéficiait d’un contrat à durée indéterminée depuis 1994. Ce contrat fixait sa rémunération sur la base d’un taux horaire multiplié par le nombre d’heures qu’elle effectuait. En 2010, elle a demandé à son employeur de la faire bénéficier d’une rémunération sur la base d’un traitement indiciaire, assorti d’un régime indemnitaire et ceci de façon rétroactive. Le refus implicite qui lui a été opposé a été annulé par les juges du fond, la cour administrative d’appel de Versailles ayant estimé qu’il méconnaissait « le principe d’égalité entre des agents effectuant des tâches identiques ».
Sur pourvoi de la commune, le Conseil...
Sur le même thème
-
La réforme de l’arrêt maladie des fonctionnaires est actée
-
L’obligation de reclassement en matière d’inaptitude médicale est une obligation de moyens
-
Synthèse annuelle du PNF pour 2024, politiques pénales en cours et possibles réformes législatives en 2025 : quand l’anticorruption revient sur le devant de la scène
-
Droit de se taire en matière disciplinaire : le Conseil d’État clarifie le champ d’application
-
Suites de l’annulation d’une sanction infligée à un agent européen
-
Maladie professionnelle dans la fonction publique : vers l’abandon du critère lié à l’origine de la pathologie ?
-
Travailler plus longtemps dans une fonction publique vieillissante
-
Égalité de traitement et accompagnants d’élèves handicapés exerçant en zone prioritaire
-
Marque physique d’une pratique religieuse et accès à la fonction publique
-
Suspension du traitement d’un agent placé sous contrôle judiciaire