- Administratif
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Statuts particuliers
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Motivation des décisions d’interdiction de retour en France
Motivation des décisions d’interdiction de retour en France
Après son avis Harounur de 2012, le Conseil d’État précise les exigences tenant à la motivation d’une décision d’interdiction de retour dont peut être assortie une obligation de quitter le territoire.
par Diane Poupeaule 4 mai 2015
Dans un arrêt du 17 avril 2015, le Conseil d’État a détaillé les obligations incombant aux préfets en matière de motivation d’une décision d’interdiction de retour en France d’un étranger, notamment lorsque l’étranger ne constitue pas une menace pour l’ordre public.
Le préfet des Yvelines avait, par arrêté, rejeté la demande de Mme A… tendant à lui délivrer un certificat de résidence, lui avait fait obligation de quitter le territoire français et prononcé une interdiction de retour sur le territoire français d’une durée d’un an. L’intéressée avait saisi le tribunal administratif de Versailles d’une requête tendant à l’annulation de cette décision et avait vu sa demande rejetée. Elle soutenait notamment que l’arrêté était entaché d’insuffisance de motivation dès lors qu’il ne précisait pas qu’elle ne présentait aucune menace pour l’ordre public. L’appel qu’elle avait formé contre cette décision n’ayant pas connu plus de succès, elle avait saisi le Conseil d’État d’un pourvoi...
Sur le même thème
-
Appréciation globale par l’ARCOM du pluralisme de l’information
-
La modeste condamnation de la France pour contrôle au faciès
-
Recours relatif aux conditions indignes de détention : liens entre recevabilité et bien-fondé de la requête
-
L’encadrement des activités des personnes détenues
-
Fin de vie : la loi sur l’aide à mourir adoptée en première lecture par l’Assemblée nationale
-
Avis de la HATVP sur le projet d’activité privée d’un agent public
-
Une personne morale a-t-elle le droit de se taire ?
-
Régularité de mise en œuvre d’une procédure de rétention administrative
-
Responsabilité du fait de la destruction d’un monument funéraire
-
Discrimination à rebours : la Cour européenne se prononce (enfin) et valide