Dès lors que l’administration fiscale métropolitaine, informée par les contribuables de la vacance des locaux acquis et loués en vertu du dispositif fiscal « Scellier outre-mer », n’avait pas remis en cause la réduction d’impôt sur le revenu accordée aux contribuables en vertu de ce dispositif fiscal de faveur, la direction des services fiscaux de la Nouvelle-Calédonie ne pouvait valablement mettre en recouvrement les droits et taxes de mutation dont la perception avait été différée.
par Xavier Delpech, Rédacteur en chef de la Revue trimestrielle de droit commercial
En carrousel matière:
Non
Matières OASIS:
Vente en l'état futur d'achèvement
Outre-mer