- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Le CNE n’échappera pas au contrôle de la Cour de cassation
Le CNE n’échappera pas au contrôle de la Cour de cassation
Le Tribunal des conflits donne raison aux syndicats en considérant que le CNE relève du juge judiciaire et non du juge administratif.
par C. Dechristéle 22 mars 2007
Contesté par les syndicats depuis sa création par l’ordonnance no 2005-893 du 2 août 2005, le contrat nouvelles embauches est un contrat à durée indéterminée, réservé aux entreprises de 20 salariés ou moins qui prévoit une période de 2 ans pendant laquelle l’employeur peut licencier son salarié sans avoir à fournir de justification.
L’origine de l’imbroglio juridique remonte à la rupture, en janvier 2006, du contrat d’une secrétaire embauchée en CNE. La salariée décide alors de contester la décision devant le tribunal des prud’hommes de Longjumeau qui requalifie le CNE en CDI estimant que l’ordonnance du 2 août 2005 n’est pas conforme à la convention no 158 de l’OIT. Cette convention précise en effet que l’ancienneté requise pour bénéficier du droit commun en matière de licenciement doit être « raisonnable » (TGI Longjumeau , 20 févr. 2006 : D. 2006. 1806, note Jacotot ; RDT 2006. 6, obs. F. Guiomard ; Dr. soc. 2006. 356, note Dockès ; JS Lamy 2006, no 186-2 ; JCP S 2006. 1424, note Morvan). L’appel est alors formé et, devant la Cour, le préfet de l’Essonne décline la compétence du juge judiciaire....
Sur le même thème
-
Petite pause
-
Droit de visite du bâtonnier : inconstitutionnalité de l’exclusion des geôles judiciaires
-
Procédure d’expropriation des immeubles indignes à titre remédiable : modalités de mise en œuvre
-
Droit au silence d’un étudiant dans une procédure disciplinaire
-
Référé-suspension concernant l’affectation d’un élève dans un lycée
-
Admission d’un cumul entre l’allocation aux adultes handicapés et l’indemnisation accordée au titre du préjudice d’incidence professionnelle de nature personnelle
-
Contrariété à l’ordre public international de la délégation de puissance paternelle sans l’accord de la mère
-
Complexe, la simplification du droit de l’urbanisme ?
-
Loi du 28 avril 2025 relative au renforcement de la sûreté dans les transports : extension du continuum de sécurité
-
Régime de protection des agents mis en cause devant la chambre du contentieux de la Cour des comptes