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Le Conseil de la concurrence saisi par la jurisprudence «Perruche»
Le Conseil de la concurrence saisi par la jurisprudence «Perruche»
L’accroissement des primes d’assurances des gynécologues obstétriciens à la suite, notamment, de l’arrêt « Perruche » ne résulte pas de comportements anticoncurrentiels.
par E. Chevrierle 5 décembre 2006
L’accroissement des coûts, dû à l’évolution, dans un sens plus favorable aux patients, du champ et des conditions de la responsabilité des établissements de santé et des praticiens, ainsi que l’augmentation de la fréquence et du montant des indemnisations, a marqué un tournant, en particulier après l’intervention de l’arrêt dit « Perruche » rendu par la Cour de cassation en 2000 (Cass., Ass. plén., 17 nov. 2000, Bull. civ. n° 9 ; R., p. 319 et 389 ; D. 2001. 332, note D. Mazeaud et note Jourdain ; ibid. Somm. 2796, obs. Vasseur-Lambry ; JCP 2000. II. 10438, rapp. Sargos, concl. contraires Sainte-Rose, note Chabas ; Gaz. Pal. 2001. 37, rapp. Sargos, concl. Sainte-Rose, note Guigue ; Dr. fam. 2001, n° 11, note Murat ; Contrats Conc. Consom. 2001, n° 39, note Leveneur ; RTD civ. 2001. 103, obs. Hauser ; ibid. 149, obs. Jourdain
; ibid. 226, obs. Libchaber).
Les difficultés se sont concentrées sur les professionnels de santé « à...
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