Accueil
Le quotidien du droit en ligne
-A+A
Article

Interversion des prescriptions résultant de l’admission d’une créance

La Cour de cassation rappelle que l’interversion de la prescription était opposable à l’associé en nom.

par A. Lienhardle 12 octobre 2009

La solution était classique jusqu’à peu : l’admission au passif de la créance entraînait interversion de prescription, la prescription trentenaire de droit commun se substituant à la prescription spéciale, le plus souvent la prescription commerciale de dix ans. Et la Cour de cassation avait déjà admis l’opposabilité de la décision d’admission à cet égard à la caution, comme au codébiteur solidaire (Com. 30...

Il vous reste 75% à lire.

Vous êtes abonné(e) ou disposez de codes d'accès :