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La renonciation à un contrat d’assurance-vie est un acte d’administration
La renonciation à un contrat d’assurance-vie est un acte d’administration
La renonciation à un contrat d’assurance vie s’analysant en un acte d’administration, elle peut être exercée par une mère seule, administratrice de son fils mineur, sans l’autorisation du juge des tutelles.
par S. de La Touannele 14 juin 2011
En 2000, une mère a souscrit plusieurs contrats de capitalisation et d’assurance vie, pour elle-même et au nom de son fils et de sa fille, mineurs. La même année, elle a souscrit d’autres contrats de capitalisation, dont elle a donné la nue-propriété à ses enfants. En 2004, elle a exercé la faculté prorogée de renonciation au contrat souscrit au nom de son fils et à un contrat souscrit à son nom, mais dont elle avait donné la nue-propriété à celui-ci. Les sommes ne lui ayant pas été restituées à la suite de cette renonciation, elle a assigné les assureurs en remboursement. Les deux enfants, devenus majeurs, sont intervenus à l’instance. Les juges du fond ont déclaré la mère recevable à exercer l’action en renonciation au nom de son fils, alors mineur, et ont condamné l’assureur à restituer à la mère les sommes versées sur les deux contrats.
Les assureurs se sont pourvus en cassation, considérant que la renonciation à un contrat d’assurance vie doit s’analyser en un acte de disposition,...
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