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En matière d’assurance dommages-ouvrage, la déclaration de sinistre faite par télécopie ne remplit pas les conditions de l’exigence d’un écrit prévues par l’article A. 243-1, annexe II, du code des assurances.
par Thibault de Ravel d'Esclaponle 21 juin 2012

La déclaration de sinistre auprès de l’assureur dommages-ouvrage ne peut se contenter d’une simple télécopie. C’est le sens de cette décision du 6 juin 2012 rendue par la troisième chambre civile et publiée au Bulletin.
Il s’agissait en l’espèce de la construction d’un ensemble hôtelier. La société à l’origine du projet avait souscrit une assurance dommages-ouvrage et s’était donc plaint à son courtier par courriel lorsqu’elle s’était aperçue de ce que certaines difficultés apparaissaient au niveau de l’ascenseur. Le courriel datait du 14 août 2007. Le 16 août, le courtier transmettait la déclaration de sinistre par télécopie à l’assureur dommages-ouvrage. Celui-ci désigna un expert et, sur la base du rapport de ce dernier, refusa la prise en charge du sinistre considérant qu’il s’agissait d’un élément d’équipement. L’assuré a donc sollicité la condamnation de la compagnie, ce qu’il n’obtint pas devant la cour d’appel, suivie par la Cour de cassation avec cette décision.
Dans cette affaire, déterminer quand la déclaration de sinistre avait...
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