- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
En matière de presse, il appartient à la partie civile de surveiller le déroulement de la procédure et d’accomplir les diligences utiles pour poursuivre l’action qu’elle a engagée, en faisant citer elle-même le prévenu à l’une des audiences de la juridiction, avant l’expiration du délai de prescription.
par Sabrina Lavricle 13 novembre 2015
Après la publication dans le journal Le Monde du 23 avril 2003 d’un article intitulé « Un témoignage éclaire les dessous de la vente d’armes à l’Angola », M. X… déposa une plainte assortie d’une constitution de partie civile et le directeur de la publication et le journaliste auteur de l’article furent renvoyés devant le tribunal correctionnel pour diffamation publique envers particulier. Les prévenus ayant fait une offre de preuve de la vérité des faits (art. 35 de la L. 29 juill. 1881) et quatre « témoins » étant par ailleurs mis en examen sur le fond de l’affaire dite « de l’Angolagate », le tribunal correctionnel, par jugement du 13 décembre 2005, ordonna un sursis à statuer jusqu’au prononcé d’une décision définitive sur ces poursuites. L’instance en diffamation, pendant ce temps, fut renvoyée successivement jusqu’à ce que les prévenus excipent, à l’audience du 19 septembre 2013, de la prescription de l’action publique. Le tribunal accueillit cette exception par jugement du 17 octobre 2013. Sur l’appel de la partie civile, la cour d’appel confirma ce jugement en relevant que le cours...
Sur le même thème
-
Outrage à magistrat : le caractère public des propos n’exclut pas la qualification
-
Mesures d’instruction in futurum et droit pénal (de la presse) : cas d’usage, perspectives et limites
-
Injure publique à raison du sexe : régime d’interruption de la prescription
-
Audience suspendue, audience quand même !
-
Injure raciale : analyse des éléments extrinsèques, au-delà du seul contexte
-
De l’influence du contexte sur la portée diffamatoire d’un propos
-
Constitutionnalité du délit de participation à une entreprise de démoralisation de l’armée
-
Notification par le juge d’instruction du droit de se taire en matière de diffamation et d’injure
-
La condamnation du Point dans l’affaire Bygmalion n’a pas enfreint la liberté d’expression
-
Affirmer que des faits ont été commis en application de la charia constitue une diffamation raciale