- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Les assignations à résidence de la loi Terrorisme sous le contrôle du juge administratif des référés
Les assignations à résidence de la loi Terrorisme sous le contrôle du juge administratif des référés
Une personne, qui fait l’objet de mesures restrictives de liberté dans le cadre de la mise en œuvre de l’article L. 228-1 du code de la sécurité intérieure issue de la loi Terrorisme, peut introduire un référé liberté.
par Jean-Marc Pastorle 21 mars 2018
Les articles L. 228-1 et L. 228-2 du code de la sécurité intérieure (CSI), issus de la loi du 30 octobre 2017 renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme (V. AJDA 2017. 1923 ), permettent au ministre de l’Intérieur, aux fins de prévenir des actes de terrorisme, de soumettre les personnes pouvant constituer une menace d’une particulière gravité pour la sécurité et l’ordre publics à plusieurs obligations, notamment d’assignation à résidence au sein d’un périmètre géographique donné, afin de faciliter la surveillance de ces individus. En raison des restrictions à la liberté d’aller et venir de la personne qui fait l’objet de telles mesures, le juge des référés, peut être saisi sur le fondement de l’article L. 521-2 du code de justice administrative et prononcer, dans de très brefs délais, une mesure provisoire et...
Sur le même thème
-
Outrage à magistrat : le caractère public des propos n’exclut pas la qualification
-
Point de départ de la prescription de la contravention de blessures involontaires
-
Exposition à des substances toxiques : la Cour européenne rappelle les exigences garanties par le droit à la vie
-
Harcèlement sexuel ambiant : nul besoin que les propos ou comportements soient adressés directement à la victime
-
Légitimité du recours à la force meurtrière par le GIGN
-
Mort de Rémi Fraisse : carton rouge pour le France
-
Délit de risque causé à une personne dépositaire de l’autorité publique par diffusion d’information : précision sur l’action civile
-
Précisions sur le fait de participer « sciemment » à un groupement violent
-
Affaire France Telecom : consécration prévisible du harcèlement moral institutionnel par la chambre criminelle
-
Refus d’obtempérer et recours à la force meurtrière