- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Habilitation préalable obligatoire du maire pour agir en justice au nom de la commune
Habilitation préalable obligatoire du maire pour agir en justice au nom de la commune
Une cour d’appel saisie d’une infraction au code de l’urbanisme doit rechercher si le maire est habilité à agir en justice au nom de la commune pour justifier sa décision.
par Morgane Guilloule 20 juillet 2015
Une fois n’est pas coutume, le droit des collectivités territoriales est à l’honneur dans la solution dégagée par la chambre criminelle dans son arrêt rendu le 16 juin 2015.
À la suite de la réalisation de travaux sur construction existante sans permis par un particulier, qui enfreignait également le plan d’urbanisme, une commune s’est constituée partie civile devant le tribunal pour obtenir la démolition ou la remise en état des lieux en application de l’article L. 480-5 du code de l’urbanisme. Les premiers juges ayant déclaré la prévenue coupable sans se prononcer sur ces demandes, la collectivité a seule interjeté appel. Pour les déclarer recevables, la cour d’appel énonce que « l’appel relevé...
Sur le même thème
-
Procédure d’expropriation des immeubles indignes à titre remédiable : modalités de mise en œuvre
-
Meublé de tourisme : non-rétroactivité des périodes de référence introduites par la loi Le Meur
-
Biens sans maître : la simple « présentation » d’un héritier est insuffisante pour faire échec à l’appropriation publique
-
Modalités de fixation du prix d’un lot de copropriété préempté
-
Partie d’un bien organisé en volumes : inapplicabilité du droit de délaissement
-
Expropriation partielle : la situation privilégiée s’apprécie au regard de la parcelle d’origine
-
ORCOD : notification de l’arrêté de prise de possession anticipée et état des lieux
-
Obligations légales de construction de logements sociaux au sein des programmes mixtes dans les communes carencées
-
Plus de pourvoi pour demander la cassation d’une ordonnance d’expropriation par voie de conséquence
-
Loi Le Meur : le PLU peut désormais prévoir une « servitude de résidence principale » dans les communes à forte tension touristique