- Administratif
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Statuts particuliers
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Syndicat des copropriétaires et troubles de voisinage
Syndicat des copropriétaires et troubles de voisinage
Un syndicat des copropriétaires peut agir à l’encontre d’un copropriétaire sur le fondement d’un trouble anormal du voisinage.
par Yves Rouquetle 19 mai 2017
Si, en matière de copropriété, les troubles de voisinage sont la plupart du temps causés et ressentis par les occupants de l’immeuble (copropriétaires ou locataires), il peut se trouver des hypothèses dans lesquelles c’est au syndicat des copropriétaires à qui il est reproché d’être le fauteur de troubles.
Le demandeur à l’action peut alors être le propriétaire du fonds voisin (V., en matière de travaux, Civ. 3e, 11 mai 2000, n° 98-18.249, D. 2001. 2231 , obs. P. Jourdain
; ibid. 3581, obs. C. Atias
; AJDI 2001. 345
; ibid. 346, obs. P. Guitard
; RDI 2000. 313, obs. M. Bruschi
; V. aussi, condamnant in solidum le syndicat et l’opérateur de téléphonie pour troubles de voisinage, suite à l’installation d’une antenne relais de téléphonie mobile à trois mètres de la ligne séparative de l’immeuble, Paris, 7 janv. 2004, Administrer févr. 2004. 47) ou l’un des occupants de l’immeuble (pour des illustrations, V. Rennes, 15 nov....
Sur le même thème
-
[PODCAST] La loi sur la copropriété a 60 ans ! - Épisode 1 : Le statut de la copropriété à l’épreuve du temps
-
Erreur dans la désignation d’une partie : vice de fond ou vice de forme ?
-
Transformation des bureaux en logement : la copropriété aussi s’assouplit
-
Syndic, préparez votre dossier d’agrément pour devenir syndic d’intérêt collectif
-
Emprunt du syndicat : la liste des informations que le prêteur peut demander au syndic est fixée
-
Indifférence de l’absence de transfert de propriété de terrains sur la validité des statuts de l’ASL
-
La Cour des comptes appelle à ajuster davantage le dispositif des diagnostics de performance énergétique
-
Subrogation des copropriétaires et qualité à agir du syndicat
-
Défaut d’habilitation du syndic à agir en justice et recevabilité de l’action
-
Modalités de fixation du prix d’un lot de copropriété préempté