- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Bien
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Validation de réserves lors de l’extension d’une convention collective pour contradiction possible avec la loi et la jurisprudence
Validation de réserves lors de l’extension d’une convention collective pour contradiction possible avec la loi et la jurisprudence
Justifie l’extension d’une convention collective avec réserves l’arrêté ministériel qui impose le respect a minima de l’indemnité légale de licenciement et l’obligation, résultant de la jurisprudence de la Cour de cassation, d’obtenir l’accord du salarié pour le renouvellement de la période d’essai.
par Julien Cortotle 25 avril 2017
L’extension d’une convention collective de branche ou interprofessionnelle, prévue par les articles L. 2261-15 et suivants du code du travail, entraîne son application obligatoire dans les entreprises objectivement comprises dans son champ d’application (Rép. pén., v° Conventions et accords collectifs de travail : conclusion, effets, application et sanctions, Dalloz, 2015, par S. Nadal). Cette extension, qui résulte d’un arrêté ministériel, va ainsi lui permettre de s’imposer dans des entreprises qui ne sont pas membres d’un groupement patronal signataire. En vertu de l’article L. 2261-25, le ministre qui procède à l’extension peut exclure les clauses contraires à la loi ou ne répondant pas à la situation de la branche ou des branches dans le champ d’application considéré. Il peut également étendre certaines clauses sous la réserve de l’application des dispositions légales lorsque ces clauses apparaissent incomplètes au regard de ces dispositions.
C’est dans le cadre de la contestation, par un groupement patronal, des réserves contenues dans l’arrêté d’extension de...
Sur le même thème
-
Cumul des avantages conventionnels et principe de faveur
-
Précisions sur les conditions de dénonciation d’un accord collectif à durée déterminée
-
Référé contre un accord collectif et forclusion de l’action syndicale
-
Pas de négociation annuelle obligatoire sans délégué syndical
-
Restriction de l’action en nullité d’un accord collectif pour le CSE
-
Délais de forclusion pour invoquer la nullité d’un accord de fusion
-
Période transitoire en vue de la fusion des champs d’application de plusieurs conventions collectives
-
Restructuration des branches du bâtiment : poursuite de la saga judiciaire
-
Accord de substitution : son application rétroactive à la date de transfert est possible sous certaines conditions
-
PSE : la régularisation d’un accord majoritaire signé par un dirigeant qui n’en a pas le pouvoir