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Le quotidien du droit en ligne

Julien Mucchielli

Accès au dossier : en appel, la défense persiste, le parquet aussi

La cour d’appel de Paris examinait hier l’appel fait par le Parquet du jugement de la 23e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris, qui avait, le 30 décembre dernier, annulé une partie de la procédure au motif que l’avocat n’avait pas eu accès au dossier en garde à vue. Délibéré le 24 mars.

L’action de groupe 2.0 bouscule déjà la profession

Jeudi dernier, à l’heure où la loi Hamon instaurant l’action de groupe était définitivement adoptée, un site, actioncivile.com, avait déjà lancé deux actions réunissant plus de 600 plaignants, contre deux sites de vente en ligne indélicats, qui n’avaient pas livré leurs clients. C’est via cette plate-forme que certains d’entre eux tenteront de faire valoir leurs droits.

Les biens de l’avocat Jacques Vergès vendus aux enchères

Ils étaient nombreux venus visiter la demeure de Jacques Vergès, samedi dernier, cinq mois après la mort de l’illustre avocat. Une vente judiciaire de ses biens s’en est suivie.

À Paris, le débat sur l’excellence pénale tourne au pugilat anti-Conférence

Mercredi 8 janvier, les 1 700 avocats du barreau pénal parisien étaient réunis à l’initiative du nouveau bâtonnier, pour débattre de l’avenir de la défense pénale.

Accès au dossier : le tribunal correctionnel annule une autre garde à vue

Vendredi 3 janvier, la 23e chambre correctionnelle de Paris a annulé une mesure de garde à vue, quatre jours après la décision du 30 décembre qui avait ouvert la voie.

Garde à vue : l’accès au dossier, ce n’est pas gagné

Jeudi 2 janvier, dans l’après-midi, la 23e chambre correctionnelle parisienne n’attendait que ça. Trois jours après l’annulation d’une garde à vue pour non communication du dossier à l’avocat, la même question agitait tous les esprits : le tribunal allait-il récidiver ?

Le renouvellement de la garde à vue est « un moment dangereux »

L’article 63-1 du code de procédure pénale, en ce qu’il ne prévoit pas la notification du droit au silence lors du renouvellement d’une garde à vue est-il contraire aux droits de la défense et au principe d’égalité devant la justice, qui ont valeur constitutionnelle ? C’est la question prioritaire de constitutionnalité posée hier devant le tribunal correctionnel de Créteil, qui décidera le 21 janvier de son éventuelle transmission à la Cour de cassation.