- Administratif
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Profession juridique et judiciaire
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Propriété intellectuelle
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Droit international et communautaire
- > Etrangers
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Temps de travail
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article![](/sites/all/themes/dallozactu/icons/type_flash.png)
![](/sites/all/themes/dallozactu/icons/type_flash.png)
Modalités d’exercice du droit de préemption par le preneur à bail rural
Modalités d’exercice du droit de préemption par le preneur à bail rural
Le notaire en charge d’instrumenter peut valablement recevoir la réponse du bénéficiaire du droit de préemption s’il en a reçu le pouvoir.
par S. Prigentle 2 mars 2012
Le notaire du bailleur notifie au preneur bénéficiaire du droit de préemption un projet de vente des terres à la société d’aménagement foncier et d’établissement rural (SAFER ; il s’agit d’une vente amiable). Avant expiration des délais prescrits, le preneur répond par lettre recommandée avec avis de réception au notaire qu’il entend exercer la préemption à des conditions différentes de celles qui lui ont été notifiées puis agit en fixation du prix des terres vendues. La SAFER fait grief à la cour d’appel d’avoir dit régulier l’exercice par le preneur de son droit de préemption. En effet, l’article L. 412-8 du code rural et de la pêche maritime prévoit que la réponse du...
Sur le même thème
-
Illicéité de la clause fixant le fermage à une fraction de la récolte du fermier
-
Illicéité de la clause autorisant l’apport en société du bail rural sans identification du bénéficiaire
-
Bail rural : modus operandi pour le bailleur en cas de dégradations du fonds par son fermier
-
Préemption : persistance de la carence du préempteur pour réaliser la vente et décalage de la prescription de l’action en nullité
-
Droit pénal de l’environnement : la constatation des infractions sur un terrain agricole
-
Opposabilité au bailleur de la cession d’un bail rural
-
Compensation de créances connexes dans les coopératives d’utilisation de matériel agricole : le ver est-il dans le fruit ?
-
Procédure de résiliation du bail rural : inefficacité de la lettre recommandée avec accusé de réception non réclamée
-
Demande de poursuite du bail rural au seul nom du copreneur : une simple faculté
-
Bail rural : point de départ du délai de prescription de l’action en requalification