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Le budget de la justice reste pour l’instant incertain. Le projet de loi de finances 2025 présenté par le gouvernement prévoit de retrancher 500 millions d’euros par rapport à la loi de programmation pour la justice. Didier Migaud a mis sa démission dans la balance pour récupérer des crédits. Mais il est acquis que ces pertes pèseront d’abord sur les projets d’investissement, notamment immobilier ou informatique, avec des retards inquiétants.
par Pierre Januel, Journalistele 16 octobre 2024
Adoptée fin 2023, la loi de programmation pour la justice entendait tracer un chemin clair pour le budget des années à venir. Fin 2024, il n’a jamais été aussi incertain. Alors que le budget 2024 devait initialement augmenter de 5 %, dès février 2024, un décret a annulé 327,9 millions d’euros sur les 12,2 milliards votés. Pour 2025, la loi de programmation prévoyait que le budget atteindrait 12,7 milliards, hors compte d’affectation spéciale « Pensions ». Mais, à lire le projet de loi de finances, il manque près de 500 millions d’euros.
Interrogé lundi matin par nos confères de RTL, le nouveau ministre de la Justice a mis sa démission dans la balance : « Le Premier ministre a dit qu’un amendement sera déposé par l’exécutif dans le cadre des discussions parlementaires pour rehausser un certain nombre de budgets, dont celui de la justice. Je souhaite que les engagements qui ont été pris en termes d’effectifs vis-à-vis de la justice soient tenus ».
Moins de recrutements que prévus
Dans le détail, si l’on prend en compte le décret d’annulation de février 2024 (qui, rappelons-le, avait annulé 2,7 % des crédits), les crédits budgétaires augmenteront de 5,3 %, avec des hausses inégales : 3,4 % en justice judiciaire, 7,3 % pour la pénitentiaire, 4,9 % pour la protection judiciaire de la jeunesse, 8,7 % pour l’accès au droit, et 0,1 % pour le programme «...
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