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Le quotidien du droit en ligne

E. Chevrier

Au Journal officiel du lundi 19 avril 2010

A signaler aux Journaux officiels des 17 et 18 avril 2010.

Points de vente collectifs

Les points de vente collectifs sont des structures ayant un fonctionnement particulier permettant aux producteurs de commercialiser leurs produits dans un circuit court sans que cela leur impose l’obligation d’être agréés, sous réserve du respect de certaines conditions. Celles-ci sont définies dans un cahier des charges sur lequel les producteurs s’engagent.

Entente anticoncurrentielle: suite et fin dans l’affaire des jouets

Par quatre décisions du 7 avril 2010, la Cour de cassation a rejeté l’ensemble des pourvois formés contre l’arrêt de la cour d’appel de Paris du 28 janvier 2009 (BOCC 8 avr. 2009 ; CCC 2009, n° 83, obs. Decocq ; Lettre distrib. févr. 2009, p. 1, obs. Sélinsky et Vertut ; RDLC 2009, n° 2, p.

Confirmation: il n’y a pas d’entente sur les prix dans un secteur administré

La Cour de cassation confirme la solution dégagée par la cour d’appel de Paris le 18 mars 2009 (V. Dalloz actualité, 30 mars 2009, obs. Chevrier isset(node/130343) ? node/130343 : NULL, 'fragment' => isset() ? : NULL, 'absolute' => )) .'"'>130343 ; CCC 2009, n° 135, obs. approb. Decocq) qui avait réformé la décision du Conseil de la concurrence, dont la motivation en avait laissée plus d’un interrogatif (Cons. conc. n° 08-D-06 du 2 avr. 2008, CCC 2008, n° 164, obs. Decocq ; RDLC 2008, n° 2, p. 105, obs. Debroux ; RLC...

Au Journal officiel du vendredi 9 avril 2010

A signaler, notamment, au Journal officiel du 9 avril 2010.

Affaire de la téléphonie mobile: suite mais pas (encore) fin

Si la Cour de cassation confirme la solution retenue en matière d’échange anticoncurrentiel d’informations, elle casse cependant partiellement l’arrêt d’appel qui n’a pas suffisamment caractérisé, pour le calcul des sanctions, le dommage à l’économie.

Absence de caractère répressif de l’amende prononcée en vertu de l’article L.442-6 du code de commerce

Les dispositions des articles 111-3, 111-4, 121-1 et 121-2 du code pénal ne s’appliquent pas à l’amende civile prévue à l’article L. 442-6 du code de commerce.

Les obligations du détenteur d’une infrastructure essentielle

Dans certaines situations très spécifiques, une entreprise en position dominante doit non seulement s’abstenir de certaines pratiques mais également promouvoir activement la concurrence en accordant à des concurrents potentiels l’accès à des installations qu’elle a développées. Tel est le message délivré par les conseillers parisiens dans cet arrêt du 23 février 2010. Dans cette même affaire, le Conseil de la concurrence avait déjà estimé qu’en présence d’une infrastructure essentielle, le refus même de contracter peut, sous certaines conditions, tenant notamment à l’...

La règle de minimis n’est qu’une faculté pour le juge français

1. L’ordonnance n° 2004-274 du 25 mars 2004 a introduit dans le code de commerce (art. L. 464-6-1. - Destours et Respaud, Lettre distrib. avr. 2004, p. 1 ; Claudel, RDLC déc. 2004. 56), la règle de minimis connue en droit de l’Union européenne (pour une comparaison avec les dispositions communautaires sur les accords d’importance mineure, V. BRDA 2004, n° 7, p.

Au Journal officiel du vendredi 26 février 2010

A signaler, notamment, au Journal officiel du 26 février 2010.