Accueil
Le quotidien du droit en ligne

Immobilier, Construction et Urbanisme | Transactions immobilières

Pacte de rachat : la restitution du bien est subordonnée au remboursement du prix et des frais définitivement fixés judiciairement

Gratuit: 
Payant

Dans le cadre d’un contrat de vente à réméré, le vendeur qui use de sa faculté de rachat ne peut entrer en possession du bien que s’il a réglé à l’acquéreur le prix et les frais de la vente, fixés de manière définitive dans le cadre d’une décision de justice. 

par Delphine Pelet
En carrousel matière: 
Non

Vente d’un droit démembré d’immeuble : assiette des droits d’enregistrement

Gratuit: 
Payant

Dans le cas de la vente entre deux sociétés civiles immobilières de l’usufruit d’un immeuble d’une durée fonction de la date de décès des associés, la valeur à retenir pour le calcul du droit de vente est la valeur résultant du barème de l’article 669, I, du code général des impôts (barème en fonction de l’âge de l’usufruitier) et non le prix exprimé dans l’acte.

par Xavier Delpech
En carrousel matière: 
Non

Le prêteur a droit à la restitution de la somme qu’il a prêtée même s’il en a lui-même fait un usage illicite

Gratuit: 
Payant

Un agent immobilier qui prête au bénéficiaire d’une promesse de vente la somme correspondant à l’indemnité d’immobilisation et qui verse directement cette somme au notaire, alors qu’il ne dispose d’aucun mandat écrit l’autorisant à agir ainsi, reste fondé à obtenir de l’emprunteur la restitution du montant prêté. Dès lors que le contrat de prêt est régulièrement formé, le prêteur a droit à la restitution des fonds, même s’il les a lui-même employés de manière illicite.

par Delphine Pelet
En carrousel matière: 
Non

Vente après division de l’immeuble et droit de préemption du locataire : application de la réserve d’interprétation du Conseil constitutionnel

Gratuit: 
Payant

Dans sa décision n° 2017-683 QPC du 9 janvier 2018, le Conseil constitutionnel s’est prononcé sur la constitutionnalité des dispositions visées à l’article 10 de la loi n° 75-1351 du 31 décembre 1975, qui réglementent le droit de préemption des locataires et occupants de bonne foi de locaux à usage d’habitation, mis en vente consécutivement à la division initiale ou à la subdivision de l’immeuble par lots. Postérieurement à cette décision, le Conseil d’État a eu à statuer sur la légalité du décret du 30 juin 1977, pris en application de cette loi. 

par Delphine Pelet
En carrousel matière: 
Non

La protection moderne du candidat à l’acquisition immobilière

D. 2018. 1603

par Virginie Pezzella

Faute dolosive du constructeur : action en responsabilité contractuelle attachée à l’immeuble

Gratuit: 
Gratuit

L’action engagée par les acquéreurs sur le fondement de la faute dolosive du constructeur pour violation délibérée et consciente de ses obligations contractuelles s’analyse en une action contractuelle. Attachée à l’immeuble, elle est transmissible aux acquéreurs successifs.

par Fanny Garcia
En carrousel matière: 
Oui

Le contrat de vente est valide si son prix est déterminé, quelles que soient ses conditions de paiement

Gratuit: 
Payant

Un contrat de vente dont il a été convenu entre les parties que le prix serait réglé par compensation entre les dettes du vendeur et de l’acquéreur, et dont la compensation se révèle impossible ne doit pas être considéré comme annulable pour défaut de prix. La validité du contrat de vente est subordonnée à l’existence d’un prix, sans que le non-respect des modalités de paiement prévues au contrat affecte sa formation.

par Delphine Pelet
En carrousel matière: 
Non

Marché immobilier résidentiel ancien en Île-de-France au premier trimestre 2018

Gratuit: 
Payant

Pour le premier trimestre 2018, le marché immobilier résidentiel ancien en Île-de-France reste encore dynamique, malgré une légère baisse de son activité. La hausse annuelle des prix de vente enregistre également un ralentissement.

par Gatien Hamel
En carrousel matière: 
Non

La vente à une SCI d’un bien qui ne peut être loué est annulable pour cause d’erreur excusable sur la substance

Gratuit: 
Payant

La possibilité de mettre en location le bien acheté peut être envisagée comme une qualité essentielle de la chose, de nature à déterminer le consentement de l’acquéreur. Si cette qualité fait défaut, l’acquéreur peut solliciter l’annulation de la vente en se prévalant d’une erreur sur la substance. Bien qu’il soit une SCI, dont l’objet social porte sur la location et la gestion de biens immobiliers, l’acquéreur n’est pas considéré comme un professionnel, ce qui rend son erreur excusable et sa demande recevable.  

par Delphine Pelet
En carrousel matière: 
Non

Effets de la nullité du contrat de réservation sur le contrat de vente

Gratuit: 
Payant

La signature par les acquéreurs de l’acte authentique de vente sans réserve ne vaut pas renonciation à se prévaloir de l’irrégularité de la notification du droit de rétractation lors du contrat de réservation. Dans la mesure où le contrat de réservation est un « contrat distinct et autonome du contrat de vente », sa nullité entraîne la nullité de la vente.

par Ariane Gailliard
En carrousel matière: 
Non