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Le quotidien du droit en ligne

Pénal | Jugement

Mineur irresponsable faute de discernement : incompétence du juge pénal pour statuer sur l’action civile

En l’absence de disposition spécifique le prévoyant, la juridiction pénale qui déclare un mineur pénalement irresponsable au motif qu’il était privé de discernement au moment de la commission des faits n’a pas compétence pour statuer sur sa responsabilité civile ni celle de ses ayants droit. L’examen des conséquences civiles relève alors de la seule compétence des juridictions civiles.

par Cloé Fonteix
En carrousel matière: 
Non

Récusation : la qualité de membre de la Légion d’honneur n’est pas un motif de partialité

La qualité de membre de l’ordre de la Légion d’honneur, conférée à des magistrats, en raison de services civils ou sous les armes, ne saurait, à elle seule, avoir pour effet de les faire participer, avec l’ensemble des personnes, civiles ou militaires, également distinguées dans le même ordre, à une communauté de vues et d’esprit.

par Sébastien Fucini
En carrousel matière: 
Oui

Citation directe : prorogation du délai de consignation

La limite du délai de consignation fixée par le tribunal correctionnel doit nécessairement être repoussée au premier jour ouvrable suivant à minuit lorsque son terme échoit un dimanche.

par Warren Azoulay
En carrousel matière: 
Non

La parole des policiers, la myopie du prévenu et les lacunes de l’enquête

En décembre 2016, Ayoub est condamné à une peine d’emprisonnement ferme pour une succession de délits routiers. Il dit avoir prêté sa voiture à un ami, qui plus tard se dénonce. En appel au mois de mars, l’ami coupable réitère des propos, mais l’audience au fond est renvoyée au 7 juillet, pour que les policiers, absents en mars, puissent être confrontés aux deux amis. Récit d’audience.

par Julien Mucchielli
En carrousel matière: 
Oui

Attentat de Nice : relaxe requise pour la policière jugée pour diffamation

Le procureur de la République de Paris a retenu vendredi la bonne foi et demandé la relaxe de la policière municipale de Nice poursuivie pour diffamation par Bernard Cazeneuve. Elle avait affirmé avoir subi des pressions pour modifier son rapport sur le déroulé de l’attentat du 14 juillet 2016.

par Pierre-Antoine Souchard
En carrousel matière: 
Oui

Le Yin et l’Obiang : la défense plaide la relaxe, décision le 27 octobre

Les trois avocats de Teodoro Nguema Obiang Mangue, vice-président de Guinée équatoriale, ont plaidé jeudi la relaxe de leur client, jugé par le tribunal correctionnel de Paris dans l’affaire des « biens mal acquis ». Mercredi, le ministère public a requis trois ans d’emprisonnement, 30 millions d’amende et la confiscation des biens saisis en France. Il encourt jusqu’à dix ans d’emprisonnement.

par Pierre-Antoine Souchard
En carrousel matière: 
Oui

« Biens mal acquis » : trois ans d’emprisonnement et 30 millions d’euros d’amende requis

Trois ans d’emprisonnement, 30 millions d’euros d’amende et confiscation de tous les biens saisis en France. Telle est la peine requise mercredi matin à l’encontre de Teodoro Nguema Obiang Mangue, vice-président de Guinée équatoriale jugé par le tribunal correctionnel de Paris dans l’affaire des « biens mal acquis ».

par Pierre-Antoine Souchard
En carrousel matière: 
Oui

Code de la route : le propriétaire d’un immeuble ne peut stationner devant son entrée carrossable

Le stationnement devant l’entrée carrossable d’un immeuble est considéré comme gênant même si le prévenu en est le propriétaire et l’usager exclusif de son accès.

par Warren Azoulay
En carrousel matière: 
Non

Action en responsabilité de l’État, prescription et procédure de rabat d’arrêt

En cas d’action en responsabilité de l’État, le point de départ de la prescription quadriennale est le premier jour de l’année suivant celle au cours de laquelle s’est produit le fait générateur du dommage allégué.

par François Mélin
En carrousel matière: 
Non

Procès des « biens mal acquis » : une QPC « dilatoire » et « caricaturale »

Le tribunal correctionnel de Paris, qui juge Teodoro Nguema Obiang Mangue, le fils du président de Guinée équatoriale dans l’affaire des « biens mal acquis », s’est plongé jeudi dans les subtilités d’un jugement du tribunal de Malabo, rendu le 12 juin, relaxant les responsables de trois sociétés d’État poursuivis pour des malversations financières.

par Pierre-Antoine Souchard
En carrousel matière: 
Oui