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Le quotidien du droit en ligne

Civil | Bien - Propriété

Quelques rappels sur la portée de l’article L. 216-4 du code de la consommation

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Dans le cadre d’une vente à distance, le vendeur reste tenu des risques de perte de la chose dans le transport jusqu’à la prise de possession par l’acquéreur du bien vendu. 

par Cédric Hélaine
En carrousel matière: 
Non

Une dernière représentation du contentieux post-divorce des donations conjugales révocables

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La remise de fonds entre époux pour l’acquisition d’un bien peut s’analyser en une donation rémunératoire si celui qui reçoit les fonds avait déployé une activité professionnelle et/ou domestique excédant sa contribution aux charges du mariage. Il appartient donc à l’époux qui soutient que l’opération est une donation révocable d’établir que les paiements n’ont pas eu d’autre cause que son intention libérale.

par Quentin Guiguet-Schielé
En carrousel matière: 
Non

Du contrôle de la dénaturation sur fond d’harmonisation des jurisprudences

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La Cour de cassation se livre à une importante harmonisation entre les jurisprudences civiles et administratives sur l’application de l’article L. 2144-3 du code général des collectivités territoriales. C’est aussi et surtout l’occasion de rappeler qu’un texte clair ne s’interprète pas.

par Cédric Hélaine
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Oui

Incapacité de recevoir à titre gratuit : renvoi d’une QPC

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La question prioritaire de constitutionnalité relative à l’incapacité de recevoir à titre gratuit énoncée par l’article L. 116-4 du code de l’action sociale et des familles présente un caractère sérieux car ce texte a pour conséquence de réduire le droit de disposer librement de ses biens, hors tout constat d’inaptitude du disposant.

par Quentin Guiguet-Schielé
En carrousel matière: 
Non

Reconnaissance des troubles anormaux de voisinage et prescription de l’action

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Les juges du fond ne peuvent retenir l’interruption de la prescription de l’action en indemnisation des préjudices résultant de troubles anormaux de voisinage qu’après avoir relevé le caractère non équivoque de la reconnaissance du débiteur du droit de son adversaire contre qui il prescrivait.

par Élisabeth Botrel
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Conflit de propriété : la prescription trentenaire l’emporte sur le titre publié

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Viole les articles 712 et 2272 du code civil la cour d’appel qui fait prévaloir l’antériorité de la publication du titre de propriété d’une des parties alors que l’autre était fondée à invoquer la prescription acquisitive trentenaire.

par Amandine Cayol
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Oui

La curatelle au confluent du droit des biens et de la procédure civile

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Après avoir rappelé que la règle « pourvoi sur pourvoi ne vaut » a été abandonnée par l’Assemblée plénière, la Cour de cassation confirme cet abandon pour la troisième chambre civile. Elle vient ensuite préciser l’importance de l’assistance du curateur dans un conflit original croisant droit des biens et majeurs vulnérables. 

par Cédric Hélaine
En carrousel matière: 
Oui

Indivisions gigognes et efficacité de la cession de droits indivis

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L’efficacité de la cession, par certains indivisaires, de leurs droits indivis dans un des biens dépendant de l’indivision successorale, est subordonnée au résultat du partage. La Cour de cassation réaffirme ici les conséquences de l’effet déclaratif du partage à l’occasion d’une indivision complexe.

par Quentin Guiguet-Schielé
En carrousel matière: 
Non

Irrespect des formalités prévues pour les promesses de vente de très longue durée : la nullité est relative

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L’article L. 290-1 du code de la construction et de l’habitation, qui soumet à peine de nullité la conclusion d’une promesse de vente d’une validité supérieure à dix-huit mois à la forme de l’acte authentique, édicte une règle d’intérêt privé. Dès lors, la nullité ne peut être invoquée que par le promettant, seul protégé par la règle, et non le bénéficiaire.

par Ariane Gailliard
En carrousel matière: 
Oui

Reconnaissance de dettes et liquidation d’indivision entre époux : le silence est d’or, le dire est d’argent

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La Cour rappelle qu’il appartient à la juridiction saisie d’une demande de liquidation et partage de l’indivision existant entre époux séparés de biens de déterminer les éléments actifs et passifs de la masse à partager. Dans cette perspective, elle doit trancher le désaccord des époux quant à l’existence d’une créance à inscrire au passif, peu important le titulaire de celle-ci. À cette occasion, elle se prononce sur la portée de la reconnaissance de cette dette opérée dans le dire envoyé au notaire dans le cadre de la procédure de liquidation.

par Mélanie Jaoul
En carrousel matière: 
Non