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Le quotidien du droit en ligne

Civil | Couple - Mariage - Divorce

Nouvelle précision sur les conditions de l’[I]exequatur[/I] d’un jugement marocain

En application de la Convention franco-marocaine du 5 octobre 1957, « le juge vérifie si la décision dont l’exequatur est demandé est, d’après la loi du pays où elle a été rendue, passée en force de chose jugée et susceptible d’exécution ».

par François Mélin
En carrousel matière: 
Non

Divorce sans juge : détails sur la procédure applicable depuis le 1[sup]er[/sup] janvier

Deux décrets d’application et un arrêté relatifs au divorce par consentement mutuel par acte sous seing privé contresigné par les avocats, instauré par la loi de modernisation de la justice du 21e siècle sont parus au Journal officiel. Le point sur la nouvelle procédure qui s’applique depuis le 1er janvier 2017.

par Anne Portmann
En carrousel matière: 
Oui

Date d’opposabilité aux tiers d’un mariage célébré à l’étranger

Le mariage contracté en pays étranger entre un français et un étranger est valable s’il a été célébré selon les formes usitées dans le pays de célébration. Sa transcription, qui n’est soumise à aucune exigence de délai, rend la qualité de conjoint opposable aux tiers depuis la date du mariage.

par François Mélin
En carrousel matière: 
Non

Détermination du caractère illicite d’un déplacement d’enfant

« La Convention de La Haye du 25 octobre 1980 ayant pour seul objet d’assurer le retour immédiat des enfants déplacés illicitement et de faire respecter le droit de garde existant dans l’État du lieu de résidence habituelle de l’enfant, avant son déplacement, le juge de l’État requis doit, pour vérifier le caractère illicite de celui-ci, se borner à rechercher si le parent avait le droit de modifier seul le lieu de résidence de l’enfant pour le fixer dans un autre État ».

par François Mélin
En carrousel matière: 
Oui

Partage judiciaire complexe : irrecevabilité de la demande postérieure au procès-verbal de difficulté et au rapport du juge commis

Lors des opérations de partage et en application de l’article 1374 du code de procédure civile, la demande tendant à l’intégration dans l’actif commun de parts de société, sans lien avec les difficultés soulevées dans le rapport du juge commis, dont le fondement a été révélé avant ce rapport mais qui a été formulée postérieurement est irrecevable. 

par Delphine Louis
En carrousel matière: 
Non

Prestation compensatoire et allocation compensatrice tierce personne

L’allocation compensatrice tierce personne allouée à un enfant majeur du couple ne doit pas être prise en compte dans la détermination de la prestation compensatoire. Elle ne constitue pas une source de revenue pour l’ex-époux chez lequel l’enfant réside mais est destinée à couvrir les besoins de cet enfant.

par Delphine Louis
En carrousel matière: 
Non

Enlèvement international et retour immédiat de l’enfant

« Il ne peut être fait exception au retour immédiat de l’enfant que s’il existe un risque de danger grave ou de création d’une situation intolérable ».
« Ces circonstances doivent être appréciées en considération primordiale de l’intérêt supérieur de l’enfant ».

par François Mélin
En carrousel matière: 
Non

Indemnité de retranchement et indivision entre l’époux survivant et les enfants du défunt, issus d’un premier lit

Un couple marié sous le régime légal procède à un changement de régime matrimonial en faveur de la communauté universelle avec clause d’attribution intégrale des biens de la communauté au conjoint survivant. Au décès de l’époux, ses enfants issus d’un premier lit souhaitent voir annuler le changement de régime matrimonial et le partage de la succession de leur père. Afin de préserver leur réserve héréditaire, ils agissent sur le fondement du deuxième alinéa de l’article 1527 du code civil.

par Valérie Da Silva
En carrousel matière: 
Non

Confirmation d’une jurisprudence contestée en matière d’annulation de mariage entre alliés en ligne directe

Deux ans après la dissolution de son mariage, un homme épouse la fille de son ex-femme. Le mariage prend fin huit ans plus tard du fait du décès de l’époux. Les héritiers de ce dernier assignent l’épouse aux fins de voir prononcer la nullité de l’union, sur le fondement de l’article 161 du code civil.

par Valérie Da Silva
En carrousel matière: 
Oui