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Le quotidien du droit en ligne

Civil | Contrats - Obligations

Contrat de séjour : qualification exclusive de celle de louage de chose

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Le contrat de séjour, au sens de l’article L. 311-4 du code de l’action sociale et des familles, est exclusif de la qualification de contrat de louage de chose.

par Amandine Cayol
En carrousel matière: 
Oui

Retour sur le domaine du démarchage

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L’application des anciens articles L. 121-21 à L. 121-33 du code de la consommation relatifs au démarchage suppose que le devis ait été accepté au domicile des consommateurs en présence du professionnel.

par Jean-Denis Pellier
En carrousel matière: 
Oui

Retour sur la confirmation du contrat en droit de la consommation

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L’exécution volontaire du contrat par des consommateurs, en connaissance des vices affectant le bon de commande, vaut confirmation de ce contrat et les prive de la possibilité de se prévaloir des nullités formelles l’affectant.

par Jean-Denis Pellier
En carrousel matière: 
Non

De la prescription des titres exécutoires judiciaires en Nouvelle-Calédonie

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En Nouvelle-Calédonie, le délai décennal pour poursuivre l’exécution de titres exécutoires judiciaires est exclu. De tels titres peuvent donc être exécutés dans le délai de prescription de droit commun, qui est celui des actions personnelles ou mobilières, c’est-à-dire cinq ans et ce, quelle que soit la nature de la créance constatée par le titre exécutoire.

par Jean-Denis Pellier
En carrousel matière: 
Non

Ryanair : sort des clauses attributives de juridiction conclues avec les passagers

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Une clause attributive de juridiction insérée dans un contrat de transport conclu entre un passager et une compagnie aérienne ne peut pas être opposée, en principe, à une société de recouvrement à laquelle le passager a cédé sa créance d’indemnisation à la suite d’une annulation du vol. Une telle clause, qui n’a pas été négociée, doit être regardée comme abusive.

par François Mélin
En carrousel matière: 
Oui

Application aux baux en cours de la loi Pinel et imprescriptibilité du réputé non écrit

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La loi Pinel, en ce qu’elle a modifié l’article L. 145-15 du code de commerce afin de prévoir le caractère non écrit des clauses ayant pour effet de faire échec aux dispositions des articles L. 145-37 et L. 145-41 du code de commerce, est applicable aux baux en cours. L’action tendant à voir réputer non écrites de telles clauses n’est pas soumise à prescription.

par Amandine Cayol
En carrousel matière: 
Non

Inexécution d’une promesse synallagmatique de vente et point de départ de la prescription

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En cas de non-réitération de la vente devant notaire à la date fixée par la promesse synallagmatique de vente, le point de départ de la prescription de l’action en indemnisation est la connaissance caractérisée, par la partie contractante, du refus de son contractant d’exécuter son obligation principale de signer l’acte authentique de vente.

par Ariane Gailliard
En carrousel matière: 
Non

De la preuve du préjudice pour limiter la restitution du capital prêté en cas d’annulation

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Lorsque la nullité du contrat de prêt est prononcée, l’emprunteur doit restituer le capital versé. Ce retour au statu quo ante est toutefois limité en cas de préjudice prouvé lié à la faute de l’établissement bancaire. Mais encore faut-il en rapporter la preuve, laquelle est laissée à l’appréciation souveraine des juges du fond.

par Cédric Hélaine
En carrousel matière: 
Non

Refus de la force majeure pour le créancier

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La Cour de cassation vient préciser que le créancier qui n’a pas pu profiter de la prestation ne peut pas invoquer la force majeure pour demander la résolution du contrat. La force majeure est un outil à la disposition du débiteur et non du créancier.

par Cédric Hélaine
En carrousel matière: 
Oui

Prescription de l’action paulienne : point de départ subjectif du délai

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Lorsque la fraude du débiteur a empêché les créanciers d’exercer l’action paulienne à compter du dépôt d’un acte de cession de parts en annexe au registre du commerce et des sociétés, le point de départ de cette action est reporté au jour où les créanciers ont effectivement connu l’existence de l’acte.

par Amandine Cayol
En carrousel matière: 
Non