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Le quotidien du droit en ligne

Social | Ruptures du contrat de travail

Employé de maison inapte : jurisprudence à droit constant appliquant un code du travail renouvelé…

Le licenciement du salarié employé de maison inapte n’est soumis qu’aux dispositions de la convention collective nationale des salariés du particulier employeur du 24 novembre 1999 étendue.

par J. Cortot

Prise d’acte de la rupture concomitante à l’instance en résiliation judiciaire : incidence sur les intérêts moratoires

Quand la prise d’acte de la rupture du contrat par le salarié intervient pendant l’instance en résiliation judiciaire du contrat et qu’elle produit les effets d’un licenciement, les intérêts au taux légal des indemnités de rupture accordées par le juge courent du jour de cette prise d’acte.

par L. Perrin

Licenciement non fautif consécutif à une mise à pied conservatoire

La Cour de cassation considère que le prononcé d’une mise à pied à titre conservatoire n’implique pas nécessairement que le licenciement prononcé ultérieurement présente un caractère disciplinaire.

par S. Maillard

Obligation de sécurité de résultat de l’employeur et prise d’acte de la rupture par le salarié

En raison de l’obligation de sécurité de résultat de l’employeur, justifie la prise d’acte de la rupture de son contrat de travail par le salarié le fait d’avoir subi, sur son lieu de travail, des faits de violence physique ou morale ou encore de harcèlement sexuel ou moral commis par ses collègues, quand bien même l’employeur aurait pris des mesures pour faire cesser ces agissements.

par J. Cortot

Prise d’acte : droit aux indemnités de préavis

Parce que la prise d’acte entraîne la cessation immédiate du contrat de travail, le salarié a droit aux indemnités de préavis, même s’il a demandé à en être dispensé et même s’il n’a pas pu l’exécuter en raison de sa maladie.

par S. Maillard

Constatation de l’inaptitude après une seule visite médicale

L’inaptitude ne peut être constatée après une seule visite médicale lorsque l’avis médical ne mentionne pas, outre la référence à l’article R. 4624-31 du code du travail, qu’une seule visite est effectuée. La mention d’une procédure d’urgence ne suffit pas.

par S. Maillard

Licenciement : prime d’habillage et pauses de nuit non prises

Par un arrêt du 13 janvier 2010, la chambre sociale confirme la décision d’une cour d’appel qui, dans le cadre de la rupture du contrat de travail d’un employé de nuit de station-service qui s’occupait seul de l’encaissement des carburants et des produits de la boutique, de l’entretien et de la surveillance de la station de 22 heures à 6 heures du matin, a condamné l’employeur à payer au salarié une somme au titre des pauses de nuit non prises ainsi qu’une prime d’habillage prévue par la convention collective.

par S. Lavric

Étendue de l’obligation de reclassement

Par un arrêt du 13 janvier 2010, la chambre sociale précise, dans le cadre d’une procédure de licenciement économique (dans la même affaire, V. E. Serverin et T.

par S. Lavric

Transaction et portée du procès-verbal de conciliation

La Cour de cassation se prononce sur la portée de l’« homologation judicaire » d’une transaction, ainsi constatée par un procès verbal de conciliation.

par S. Maillard