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Le quotidien du droit en ligne

Affaires | Sûretés - Garanties

Une sûreté fortifiée : le nantissement du contrat d’assurance vie

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Il résulte des articles 2363 du code civil et L. 132-10 du code des assurances que le créancier bénéficiaire d’un nantissement de contrat d’assurance vie rachetable, qui peut provoquer le rachat, dispose d’un droit exclusif au paiement de la valeur de rachat, excluant ainsi tout concours avec les autres créanciers du souscripteur, même privilégiés.

par Rodolphe Bigot
En carrousel matière: 
Non

Une application (trop) mesurée de la déchéance du droit à remboursement de la caution

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La caution n’ayant pas averti les emprunteurs de la sollicitation du créancier alors qu’ils disposaient d’un moyen de nullité permettant d’invalider partiellement leur obligation principale de remboursement doit être déchue de son droit à remboursement à hauteur des sommes que ces derniers n’auraient pas eu à acquitter.

par Jean-Denis Pellier
En carrousel matière: 
Oui

Purge amiable d’une hypothèque et remise des clés au bailleur

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La purge amiable est une procédure facultative qui nécessite l’accord du vendeur sans qu’il soit tenu d’y consentir. Le bail cesse de plein de droit à l’expiration du terme fixé et la restitution du local par le preneur suppose la remise effective des clés au bailleur en personne ou à son mandataire.

par Amandine Cayol
En carrousel matière: 
Non

Appréciation de la disproportion du cautionnement : des précisions, encore et toujours…

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Pour apprécier la disproportion manifeste du cautionnement souscrit par la personne physique, il s’impose de prendre en compte l’engagement litigieux, en sus des engagements antérieurs. Par ailleurs, cette appréciation doit être menée en considération du montant du propre engagement de la caution. 

par Yannick Blandin
En carrousel matière: 
Non

Procédures collectives, ordre public et « séquestre » de soldes de comptes bancaires nantis

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L’ordre public attaché aux règles relatives aux procédures collectives interdit au créancier de « séquestrer » les sommes figurant au crédit de comptes nantis au seul motif de l’ouverture d’une procédure collective. La cessation de ce trouble peut être obtenue du juge des référés.

par Yannick Blandin
En carrousel matière: 
Oui

La garantie financière du code du tourisme ne bénéficie qu’aux consommateurs finaux

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Il résulte de l’article R. 211-26 du code du tourisme que la garantie financière spécialement affectée au remboursement en principal des fonds reçus par l’opérateur de voyages au titre des engagements qu’il a contractés à l’égard de sa clientèle, ne bénéficie qu’aux consommateurs finaux, de sorte qu’un comité d’entreprise qui intervient en qualité d’organisateur ou de revendeur de voyages, et non en seule qualité de mandataire des salariés auprès d’une agence de voyages, ne peut en bénéficier.

par Jean-Denis Pellier
En carrousel matière: 
Non

Une conception (trop) stricte de l’indu

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Le paiement réalisé par un notaire ayant commis une erreur sur l’ordre des privilèges sans toutefois porter atteinte au principe de l’égalité des créanciers chirographaires n’ouvre pas droit à répétition, dès lors que les créanciers n’ont reçu que ce que leur devait le débiteur.

par Jean-Denis Pellier
En carrousel matière: 
Non

De la répartition de la dette entre les coobligés solidaires

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Le codébiteur solidaire qui a payé au-delà de sa part ne dispose d’un recours contre ses coobligés que pour les sommes qui excèdent sa propre part.

par Jean-Denis Pellier
En carrousel matière: 
Non

Retour sur la sanction de l’article 2293 du code civil

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Le défaut d’information annuelle de la caution, prévue à l’article 2293 du code civil, est sanctionné par la déchéance de tous les accessoires de la dette, frais et pénalités.

par Jean-Denis Pellier
En carrousel matière: 
Oui

Convention franco-italienne du 3 juin 1930 : loi applicable aux sûretés et admission des créances

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En application de l’article 24 de la Convention franco-italienne du 3 juin 1930, « les privilèges et droits de préférence établis sur les biens immeubles sont régis par la loi de l’État sur le territoire duquel ces biens sont situés tandis que l’admission des créanciers est réglée par la loi du pays où la faillite a été déclarée ».

par François Mélin
En carrousel matière: 
Non