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Le quotidien du droit en ligne

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La directive SRI 2 : élargissement du champ d’application et renforcement de la coopération en matière de cybersécurité

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La cybersécurité, notamment des infrastructures essentielles, est primordiale compte tenu de l’augmentation des cyberattaques contre tous types d’entités. Une première directive SRI (sécurité des réseaux et des systèmes d’information, également appelée « NIS » pour l’acronyme anglais) avait été adoptée en 2016, et conformément à la clause de révision, celle-ci a été révisée pour laisser place à SRI 2 (dir. [UE] 2022/2555 concernant des mesures destinées à assurer un niveau élevé commun de cybersécurité dans l’ensemble de l’Union). Cette nouvelle directive promeut des objectifs de coopération renforcée entre les États membres, met l’accent sur l’anticipation et la sensibilisation à la cybersécurité et élargit le champ d’application matériel. Les États membres disposent de vingt et un mois pour transposer la directive.

par Clara Saillant, Assistante de recherche à l’Université de Vienne, département d’innovation et de digitalisation en droit

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Panorama rapide de l’actualité « Affaires » de la semaine du 9 janvier 2023

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Sélection de l’actualité « Affaires » marquante de la semaine du 9 janvier 2023.

par Cédric Hélaine, Docteur en droit, Juriste assistant placé auprès du premier président de la Cour d’appel d’Aix-en-Provence et Laurent Dargent, Rédacteur en chef

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Panorama rapide de l’actualité « Civil » de la semaine du 9 janvier 2023

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Sélection de l’actualité « Civil » marquante de la semaine du 9 janvier 2023.

par Cédric Hélaine, Docteur en droit, Juriste assistant placé auprès du premier président de la Cour d’appel d’Aix-en-Provence et Nicolas Hoffschir, Maître de conférences à l’Université d’Orléans

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Un rappel sémantique concernant la détermination de la peine

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La Cour de cassation rappelle qu’une peine privative de liberté d’une durée inférieure à dix ans ne peut être qu’un emprisonnement délictuel, même en répression d’un crime, alors que la durée de la réclusion criminelle à temps est, en toutes circonstances, de dix ans au moins.

par Margaux Dominati, ATER, Aix-Marseille Université
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Plan des États généraux : les points en suspens pour la justice économique

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Nous avons interrogé les professionnels du droit suite au plan présenté par le ministre de la Justice la semaine dernière. Tribunal des affaires économiques, contribution, code de droit international privé… Si les réactions sont positives, des interrogations demeurent.

par Pierre Januel, journaliste

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Avant-projet de réforme des contrats spéciaux : observations sur la garantie des vices en matière de vente sous le prisme du droit de la consommation (2[SUP]e[/SUP] partie)

La démarche générale adoptée dans le cadre de ces observations est guidée par l’éclairage du droit de la consommation. Celui-ci se justifie à plusieurs égards. Tout d’abord, la transversalité du droit de la consommation, dont l’application est déclenchée par la qualité des parties et non l’objet du contrat, le conduit à cumuler ses dispositions avec la très grande majorité des contrats spéciaux du code civil. Ce cumul est d’autant plus fréquent que l’essentiel des règles de consommation sont des règles contractuelles. Ces interactions obligent dès lors à s’assurer de leur cohérence entre elles. L’importance et la technicité de l’élaboration de ce droit, pourtant jeune, sont de nature, ensuite, à révéler de nouveaux besoins législatifs susceptibles de profiter au droit général des contrats spéciaux. La prise en compte du numérique dans les contrats de consommation en constitue un exemple patent. Enfin, l’origine européenne du droit de la consommation oblige à s’assurer de l’absence de conflits de normes, tout en veillant à leur parfaite articulation. Par conséquent, l’éclairage de l’avant-projet de réforme par le droit de la consommation, loin de transposer au droit commun les mécanismes spécifiques de protection du consommateur, vise à s’assurer d’une coexistence paisible, source de sécurité juridique.

Si l’essentiel des contrats spéciaux du code civil sont susceptibles d’être appréhendés par le prisme du droit de la consommation, seule sera abordée dans ces observations la garantie des vices en matière de vente qui constitue une question centrale du régime de la vente et sur laquelle l’éclairage du droit de la consommation est le plus pertinent.

Nos remerciements vont aux étudiants du Master 2 Droit de la consommation et des pratiques commerciales de CY Cergy Paris Université, adossé à la Chaire Droit de la consommation, qui ont aidé aux recherches du contentieux ainsi qu’à Ronan Bretel, post doctorant au sein de la Chaire Droit de la consommation.

 

V. 1re partie : Avant-projet de réforme des contrats spéciaux : observations sur la garantie des vices en matière de vente sous le prisme du droit de la consommation

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La démarche générale adoptée dans le cadre de ces observations est guidée par l’éclairage du droit de la consommation. Celui-ci se justifie à plusieurs égards. Tout d’abord, la transversalité du droit de la consommation, dont l’application est déclenchée par la qualité des parties et non l’objet du contrat, le conduit à cumuler ses dispositions avec la très grande majorité des contrats spéciaux du code civil. Ce cumul est d’autant plus fréquent que l’essentiel des règles de consommation sont des règles contractuelles. Ces interactions obligent dès lors à s’assurer de leur cohérence entre elles. L’importance et la technicité de l’élaboration de ce droit, pourtant jeune, sont de nature, ensuite, à révéler de nouveaux besoins législatifs susceptibles de profiter au droit général des contrats spéciaux. La prise en compte du numérique dans les contrats de consommation en constitue un exemple patent. Enfin, l’origine européenne du droit de la consommation oblige à s’assurer de l’absence de conflits de normes, tout en veillant à leur parfaite articulation. Par conséquent, l’éclairage de l’avant-projet de réforme par le droit de la consommation, loin de transposer au droit commun les mécanismes spécifiques de protection du consommateur, vise à s’assurer d’une coexistence paisible, source de sécurité juridique.

Si l’essentiel des contrats spéciaux du code civil sont susceptibles d’être appréhendés par le prisme du droit de la consommation, seule sera abordée dans ces observations la garantie des vices en matière de vente qui constitue une question centrale du régime de la vente et sur laquelle l’éclairage du droit de la consommation est le plus pertinent.

Nos remerciements vont aux étudiants du Master 2 Droit de la consommation et des pratiques commerciales de CY Cergy Paris Université, adossé à la Chaire Droit de la consommation, qui ont aidé aux recherches du contentieux ainsi qu’à Ronan Bretel, post doctorant au sein de la Chaire Droit de la consommation.

 

V. 1re partie : Avant-projet de réforme des contrats spéciaux : observations sur la garantie des vices en matière de vente sous le prisme du droit de la consommation

La courte-échelle, le pont entre étudiants et magistrats

On la dit homogène et difficilement accessible. La magistrature s’ouvrira-t-elle socialement ? C’est en tout cas le pari fait par le magistrat Youssef Badr, ancien porte-parole du ministère de la justice. Voilà un an, il a lancé l’association « courte-échelle », qui promeut le parrainage d’étudiants en droit par des professionnels des filières visées. Un projet qui essaime au-delà des frontières imaginées.

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Auteur externe: 
par Anaïs Coignac, Journaliste
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Avant-projet de réforme des contrats spéciaux : observations sur la garantie des vices en matière de vente sous le prisme du droit de la consommation (1[SUP]re[/SUP] partie)

La démarche générale adoptée dans le cadre de ces observations est guidée par l’éclairage du droit de la consommation. Celui-ci se justifie à plusieurs égards. Tout d’abord, la transversalité du droit de la consommation, dont l’application est déclenchée par la qualité des parties et non l’objet du contrat, le conduit à cumuler ses dispositions avec la très grande majorité des contrats spéciaux du code civil. Ce cumul est d’autant plus fréquent que l’essentiel des règles de consommation sont des règles contractuelles. Ces interactions obligent dès lors à s’assurer de leur cohérence entre elles. L’importance et la technicité de l’élaboration de ce droit, pourtant jeune, sont de nature, ensuite, à révéler de nouveaux besoins législatifs susceptibles de profiter au droit général des contrats spéciaux. La prise en compte du numérique dans les contrats de consommation en constitue un exemple patent. Enfin, l’origine européenne du droit de la consommation oblige à s’assurer de l’absence de conflits de normes, tout en veillant à leur parfaite articulation. Par conséquent, l’éclairage de l’avant-projet de réforme par le droit de la consommation, loin de transposer au droit commun les mécanismes spécifiques de protection du consommateur, vise à s’assurer d’une coexistence paisible, source de sécurité juridique.

Si l’essentiel des contrats spéciaux du code civil sont susceptibles d’être appréhendés par le prisme du droit de la consommation, seule sera abordée dans ces observations la garantie des vices en matière de vente qui constitue une question centrale du régime de la vente et sur laquelle l’éclairage du droit de la consommation est le plus pertinent.

Nos remerciements vont aux étudiants du Master 2 Droit de la consommation et des pratiques commerciales de CY Cergy Paris Université, adossé à la Chaire Droit de la consommation, qui ont aidé aux recherches du contentieux ainsi qu’à Ronan Bretel, post doctorant au sein de la Chaire Droit de la consommation.

 

V. 2nde partie : Avant-projet de réforme des contrats spéciaux : observations sur la garantie des vices en matière de vente sous le prisme du droit de la consommation

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La démarche générale adoptée dans le cadre de ces observations est guidée par l’éclairage du droit de la consommation. Celui-ci se justifie à plusieurs égards. Tout d’abord, la transversalité du droit de la consommation, dont l’application est déclenchée par la qualité des parties et non l’objet du contrat, le conduit à cumuler ses dispositions avec la très grande majorité des contrats spéciaux du code civil. Ce cumul est d’autant plus fréquent que l’essentiel des règles de consommation sont des règles contractuelles. Ces interactions obligent dès lors à s’assurer de leur cohérence entre elles. L’importance et la technicité de l’élaboration de ce droit, pourtant jeune, sont de nature, ensuite, à révéler de nouveaux besoins législatifs susceptibles de profiter au droit général des contrats spéciaux. La prise en compte du numérique dans les contrats de consommation en constitue un exemple patent. Enfin, l’origine européenne du droit de la consommation oblige à s’assurer de l’absence de conflits de normes, tout en veillant à leur parfaite articulation. Par conséquent, l’éclairage de l’avant-projet de réforme par le droit de la consommation, loin de transposer au droit commun les mécanismes spécifiques de protection du consommateur, vise à s’assurer d’une coexistence paisible, source de sécurité juridique.

Si l’essentiel des contrats spéciaux du code civil sont susceptibles d’être appréhendés par le prisme du droit de la consommation, seule sera abordée dans ces observations la garantie des vices en matière de vente qui constitue une question centrale du régime de la vente et sur laquelle l’éclairage du droit de la consommation est le plus pertinent.

Nos remerciements vont aux étudiants du Master 2 Droit de la consommation et des pratiques commerciales de CY Cergy Paris Université, adossé à la Chaire Droit de la consommation, qui ont aidé aux recherches du contentieux ainsi qu’à Ronan Bretel, post doctorant au sein de la Chaire Droit de la consommation.

 

V. 2nde partie : Avant-projet de réforme des contrats spéciaux : observations sur la garantie des vices en matière de vente sous le prisme du droit de la consommation

Respect du contradictoire et aide substantielle en matière de dopage

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Le Conseil d’État apporte deux précisions sur les dispositions règlementaires du code du sport en matière de procédure disciplinaire devant l’Agence française de lutte contre le dopage.

par Jean-Marc Pastor
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Panorama rapide de l’actualité « Pénal » de la semaine du 2 janvier 2023

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Sélection de l’actualité « Pénal » marquante de la semaine du 2 janvier 2023.

par Dargent
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