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Le quotidien du droit en ligne

Affaires | Contrats d'affaires

Le règlement CE n° 593-2008 du 17 juin 2008 sur la loi applicable aux obligations contractuelles, dit «RomeI»

Présentation générale, par Sylvain Bollée et Sophie Lemaire ;

Interrogations sur la portée juridique du préambuke du règlement Rome I, par Sophie Lemaire ;

A la croisée des règlements Rome I et Rome II : la rupture des négociations contractuelles, par Sylvain Bollée ;

Le sort des règles impératives dans le règlement Rome I, par Louis d’Avout ;

La loi applicable à défaut de choix selon les articles 4 et 5 du règlement Rome I, par Tristan Azzi ;

La protection de la partie faible dans le règlement Rome I, par Olivera Boskovic.

LME : renforcement du mécanisme de lutte contre les clauses abusives

La loi de modernisation de l’économie du 4 août 2008 modifie les conditions de fixation des clauses présumées abusives et celles qui doivent être considérées comme telles de manière irréfragable.

par X. Delpech

La mobilisation de la créance indemnitaire

Une victime peut-elle mobiliser sa créance indemnitaire non encore constatée en justice ?

Mission de présentation de clientèle : exclusion du mandat d’intérêt commun

Dès lors que l’intermédiaire n’accomplit aucun acte juridique au nom et pour le compte de la banque et n’a donc aucun pouvoir pour la représenter, la qualification de mandat d’intérêt commun doit être écartée.

par X. Delpech

Limites au transfert de la charge de l’entretien des lieux loués

Si le bailleur peut mettre à la charge du preneur, par une clause expresse du bail, l’obligation de prendre en charge les travaux rendus nécessaires par la vétusté, il ne peut, en raison de l’obligation de délivrance à laquelle il est tenu, s’exonérer de l’obligation de procéder aux travaux rendus nécessaires par les vices affectant la structure de l’immeuble.

par Y. Rouquet

Agent immobilier : acquisition par personne interposée et confirmation d’un acte nul

La confirmation de la nullité de l’acte par lequel un mandataire se porte acquéreur par personne interposée du bien qu’il est chargé de vendre, qui exige la connaissance du vice et l’intention de le réparer, ne peut résulter de la connaissance, antérieure à la vente, de l’identité de dirigeant de la société mandataire et de la société acquéreur.

par G. Forest

Notion de démarchage à domicile

L’opération de vente immobilière conclue à la suite d’un démarchage à domicile est soumise aux dispositions des articles L. 121-21 et suivants du code de la consommation, et doit comporter un formulaire permettant au vendeur d’exercer la faculté de renonciation.

par I. Gallmeister