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Le quotidien du droit en ligne

Droit des étrangers

L’échec à un examen d’intégration peut empêcher le regroupement familial

Les États membres de l’Union européenne peuvent, à certaines conditions, exiger d’étrangers qu’ils réussissent un examen d’intégration civique avant d’autoriser leur entrée et leur séjour sur leur territoire aux fins du regroupement familial. La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) se prononce en ce sens, dans un arrêt du 9 juillet 2015 (sur les conclusions de l’avocat général, V. Dalloz actualité, 31 mars 2015, C. Fleuriot isset(node/171925) ? node/171925 : NULL, 'fragment' => isset() ? : NULL, 'absolute' => )) .'"'>171925).

par Caroline Fleuriot
En carrousel matière: 
Non

Prise en charge des mineurs isolés étrangers : compétence du juge des enfants

Seul le juge des enfants peut trancher un litige portant sur la prise en charge par un département d’un jeune qui s’affirme mineur isolé étranger.

par Marie-Christine de Montecler
En carrousel matière: 
Non

Étrangers : les députés encadrent la rétention des enfants

La Commission des lois de l’Assemblée nationale a apporté des modifications au projet de loi sur le droit des étrangers.

par Caroline Fleuriot
En carrousel matière: 
Oui

Les contrôles à la frontière franco-italienne peuvent se poursuivre

Le juge des référés du Conseil d’État a rejeté, le 29 juin 2015, les requêtes en référé-liberté présentées par des associations de soutien aux étrangers tendant à ce qu’il soit mis fin aux contrôles d’identité pratiqués à la frontière franco-italienne.

par Diane Poupeau
En carrousel matière: 
Non

Projet de loi immigration : « une forte suspicion à l’égard des étrangers »

Le Défenseur des droits (DDD), Jacques Toubon, formule de nombreuses pistes pour améliorer le projet de loi relatif au droit des étrangers, examiné actuellement à l’Assemblée nationale. Dans un avis, il demande que le recours à la rétention des mineurs « soit proscrit » et que cette interdiction « soit inscrite dans la loi ». Selon lui, il faut aussi en finir avec « les privations de liberté en zone d’attente pour tous les mineurs isolés ». Ainsi, il opte pour « leur admission sur le territoire en vue d’un placement aux fins d’éclaircir leur situation individuelle ».

par Caroline Fleuriot
En carrousel matière: 
Non

Un grand nombre d’éloignements échappent au contrôle du juge judiciaire

En 2014, 45,2 % des étrangers éloignés de la métropole l’ont été avant le délai d’intervention du juge des libertés et de la détention (JLD), apprend-on dans le rapport 2014 des associations intervenant en rétention, publié hier. Un chiffre qui est toutefois en baisse, comparé à 2013 (54 %) (sur le rapport 2013, V. Dalloz actualité, 19 nov. 2014, obs. C. Fleuriot isset(node/169579) ? node/169579 : NULL, 'fragment' => isset() ? : NULL, 'absolute' => )) .'"'>169579). Le rapport souligne la nécessité d’une « intervention plus rapide » des juges judiciaires, qui ont libéré 20,3 % des étrangers retenus en métropole.

par Caroline Fleuriot
En carrousel matière: 
Non

Réforme de l’asile : l’Assemblée revient à sa version du texte

Les députés sont revenus sur l’essentiel des modifications apportées par le Sénat en première lecture qui tendaient vers un durcissement du texte.

par poupeau
En carrousel matière: 
Non

Comment un étranger peut-il justifier de la durée de sa résidence en France ?

Le ressortissant étranger en situation irrégulière qui établit résider habituellement en France depuis plus de dix ans et sollicite son admission exceptionnelle au séjour doit voir sa situation examinée par la commission du titre de séjour. Le ressortissant algérien bénéficie quant à lui toujours, en application de l’accord franco-algérien, de la délivrance de plein droit d’un certificat de résidence dans un tel cas. Il appartient à l’administration, sous le contrôle du juge, d’apprécier la réalité de la présence en France, dont l’étranger peut justifier par tout moyen.

Étrangers : l’échec à un examen d’intégration peut entrainer une amende

Le droit de l’Union européenne ne s’oppose pas à une réglementation nationale imposant aux étrangers, ayant le statut de résident de longue durée, l’obligation de réussir un examen d’intégration civique, sous peine d’amende. La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) se prononce en ce sens, dans un arrêt du 4 juin 2015 (pour la position de l’avocat général, V. Dalloz actualité, 3 mars 2015, obs. C. Fleuriot isset(node/171370) ? node/171370 : NULL, 'fragment' => isset() ? : NULL, 'absolute' => )) .'"'>171370).

par Caroline Fleuriot
En carrousel matière: 
Non