Entre le 8 et le 9 novembre 2018, les « Sept de Briançon » ont été jugés par le tribunal de grande instance de Gap pour le délit d’aide à l’entrée irrégulière, plus communément appelé « délit de solidarité » avec la circonstance que les faits auraient été commis en bande organisée. Pour avoir voulu dénoncer les violations des droits de l’homme à la frontière italienne, ils encourent jusqu’à dix ans d’emprisonnement et 750 000 € d’amende. Le délibéré sera rendu le 13 décembre 2018.
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Entre le 8 et le 9 novembre 2018, les « Sept de Briançon » ont été jugés par le tribunal de grande instance de Gap pour le délit d’aide à l’entrée irrégulière, plus communément appelé « délit de solidarité » avec la circonstance que les faits auraient été commis en bande organisée. Pour avoir voulu dénoncer les violations des droits de l’homme à la frontière italienne, ils encourent jusqu’à dix ans d’emprisonnement et 750 000 € d’amende. Le délibéré sera rendu le 13 décembre 2018.