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Le quotidien du droit en ligne

Social | Ruptures du contrat de travail

Baby Loup : horizons et défense d’une jurisprudence anathème

Les deux décisions rendues le 19 mars 2013 sur la question de la place de la laïcité et de la liberté religieuse dans l’entreprise ont déjà suscité de vifs débats parmi les auteurs ainsi que dans l’espace politique et médiatique. Au-delà des critiques qui ont pu être formulées, les arrêts méritent une analyse et une réflexion minutieuses afin de comprendre les raisons qui sont à l’origine du choix des juges.

Consultation des courriels du salarié et respect de sa vie privée

Des courriels et fichiers intégrés dans le disque dur de l’ordinateur mis à disposition du salarié par l’employeur ne sont pas identifiés comme personnels du seul fait qu’ils émanent initialement de sa messagerie électronique personnelle.

par Caroline Fleuriot
En carrousel matière: 
Non

Au Journal officiel du vendredi 28 juin 2013

A signaler, notamment, au Journal officiel du 28 juin 2013.
 

Refus de l’employeur de réintégrer un salarié à la suite de la nullité de son licenciement

Lorsque l’employeur refuse de réintégrer le salarié dont le licenciement a été annulé, il est notamment tenu au paiement d’une indemnité égale à la rémunération que le salarié aurait perçu jusqu’à ce que celui-ci prenne acte de la rupture de son contrat de travail ou que le juge en prononce la résiliation. Cette rupture produit alors les effets d’un licenciement illicite.

par Bertrand Ines
En carrousel matière: 
Non

Licenciement sans autorisation d’un conseiller prud’homal : réévaluation de l’indemnité forfaitaire

La méconnaissance du statut protecteur d’un conseiller prud’homal lui ouvre droit à une indemnité forfaitaire égale au montant de sa rémunération pour la période comprise entre son éviction et l’expiration de la période de protection dans la limite de la durée de protection accordée aux représentants du personnel (soit 54 mois), peu important la durée légale maximale prévue pour son contrat de travail.

par Marie Peyronnet
En carrousel matière: 
Oui

Obligation de maintenir la capacité du salarié à occuper un emploi

N’est pas contraire au principe « à travail égal, salaire égal », l’application d’une majoration de salaire différente entre les salariés effectuant exceptionnellement des heures de nuit et ceux travaillant habituellement de nuit. De plus, manque à son obligation d’adaptation du salarié à l’évolution des emplois, l’employeur qui n’a fait bénéficier son salarié d’aucune formation en seize ans.

par Marie Peyronnet
En carrousel matière: 
Non

Défaut de la double visite médicale de reprise et licenciement économique

Pour le salarié, victime d’un accident du travail, qui a été déclaré, à l’issue de la première visite de reprise, provisoirement apte, l’employeur est tenu, au moment d’engager la procédure de licenciement pour motif économique ou pendant son déroulement, de faire procéder, à l’issue de la période d’aptitude provisoire, à une nouvelle visite médicale.

par Wolfgang Fraisse
En carrousel matière: 
Non

Licenciement pour inaptitude et reconnaissance d’une faute inexcusable : indemnisation

Si le salarié licencié en raison d’une inaptitude consécutive à un accident du travail reconnu imputable à la faute inexcusable de l’employeur peut bénéficier d’une indemnité réparant la perte de son emploi, cette indemnité ne se cumule pas avec l’octroi de dommages-intérêts pour licenciement sans cause réelle et sérieuse.

par Wolfgang Fraisse
En carrousel matière: 
Non

Inaptitude : recherche de reclassement sérieuse

Une société, pour justifier d’une recherche sérieuse de reclassement, ne doit pas avoir mis une seule journée pour la recherche de poste compte tenu de sa structure, de sa dimension nationale et du nombre d’emplois qu’elle représente. 

par Wolfgang Fraisse
En carrousel matière: 
Oui

Petit licenciement pour motif économique : consultation des DP en l’absence de CE

L’employeur, qui, dans une entreprise d’au moins cinquante salariés, envisage de procéder à un licenciement collectif pour motif économique de moins de dix salariés dans une même période de trente jours, doit, en l’absence de comité d’entreprise (CE), réunir et consulter les délégués du personnel (DP).

par Marie Peyronnet
En carrousel matière: 
Oui