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Le quotidien du droit en ligne

Pénal

Fonctions successives et impartialité : du refus d’homologation d’une CRPC au placement en détention provisoire

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Le refus du juge d’homologuer une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité ne fait pas obstacle à ce qu’il intervienne par la suite, dans la même affaire, en qualité de juge des libertés et de la détention, pour ordonner le placement en détention provisoire du même individu.

par Warren Azoulay
En carrousel matière: 
Oui

Non transmission de la QPC relative au refus de restitution d’un bien constituant le produit direct ou indirect d’une infraction

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La chambre criminelle considère qu’il n’y a pas lieu à renvoyer au Conseil constitutionnel la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) relative au refus de restitution d’un bien constituant le produit direct ou indirect d’une infraction prévu par l’article 481 du code de procédure pénale. 

par Dorothée Goetz
En carrousel matière: 
Non

Harcèlement à l’Opéra de Paris : la direction conteste la désignation syndicale d’un danseur

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À la suite d’un sondage interne, diffusé le 13 avril 2018 dans la presse, il apparaît qu’une majorité des danseurs du ballet de l’Opéra de Paris a été victime ou témoin de harcèlement au sein de l’institution. Sur la défensive, la direction cherche les responsables de cette opération malveillante et voit en Samuel M…, artisan de ce sondage et nouveau représentant du syndicat Sud spectacle, un agitateur. L’Opéra de Paris a donc lancé une procédure pour « désignation syndicale frauduleuse » à l’encontre de Samuel M… et du syndicat. Mardi 10 juillet, le tribunal d’instance de Paris a examiné l’affaire.

par Julien Mucchielli
En carrousel matière: 
Oui

« On constate une volonté accrue du législateur et des magistrats de responsabiliser pénalement les personnes morales »

« Les avocats Antoine Chatain et Maud Picquet expliquent, dans une tribune au « Monde », que les juges font une interprétation jurisprudentielle extensive des conditions de responsabilité des personnes morales. »

Le Monde, 7 juill. 2018

par A. Chatain et M. Picquet

Les grâces présidentielles en France, un « fait du prince » de plus en plus rare

Inscrite dans la Constitution française, la grâce présidentielle est l’une des prérogatives du chef de l’État. Décidée selon son bon vouloir, elle n’est quasiment plus accordée depuis 2011. Passées d’une centaine de cas par an il y a encore dix ans à quelques rares exemples ces dernières années, les grâces continuent pourtant d’être sollicitées auprès du président de la République, certaines pour des détenus incarcérés depuis plusieurs décennies, posant la question du traitement des personnes condamnées à de longues peines.

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Auteur externe: 
par Anaïs Coignac
En carrousel matière: 
Oui

Le visage de l’État moderne au travers de la photographie

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Projet photographique de l’Allemand Jörg Gläsher, « État de l’État » analyse en images la notion moderne de l’État au travers de trois catégories de personnes : les juges, les policiers et les maires.

par Maxence Peniguet
En carrousel matière: 
Oui

Le Sénat renforce la lutte contre la fraude

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Mardi, le Sénat débattait du projet de loi de lutte contre la fraude. 

par Pierre Januel
En carrousel matière: 
Oui

Audience correctionnelle (plusieurs prévenus) : une information collective suffit

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En cas de pluralité de prévenus, les informations délivrées par le président ou assesseur en préalable des débats n’ont pas à être nominatives. 

par Thomas Coustet
En carrousel matière: 
Non

Affaire [I]Wildenstein[/I] : confirmation de la relaxe en appel

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Dans un arrêt du 29 juin 2018, la cour d’appel de Paris a confirmé la relaxe générale prononcée en première instance dans l’affaire Wildenstein

par Dorothée Goetz
En carrousel matière: 
Oui

Silence et détention provisoire : la privation de liberté du mi-taisant

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La détention provisoire d’une personne n’ayant reconnu que partiellement les faits lui étant reprochés ne méconnaît pas son droit au silence et répond aux exigences des articles 137-3 et 143-1 du code de procédure pénale dès lors que sa privation de liberté est l’unique mesure de nature à empêcher une concertation frauduleuse avec ses coauteurs ou complices, à garantir son maintien à la disposition de la justice, à mettre fin aux infractions et au trouble causé à l’ordre public.

par Warren Azoulay
En carrousel matière: 
Non