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Le quotidien du droit en ligne

Pénal | Atteintes à l'autorité de l'État

Principe [I]non bis in idem[/I] : inapplicabilité aux procédures disciplinaires

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Les poursuites disciplinaires et les poursuites pénales peuvent se cumuler sans violer le principe non bis in idem, car les premières ne relèvent pas, comme telles, de la matière pénale ; il en va ainsi des poursuites disciplinaires des médecins, y compris lorsqu’il s’agit d’infliger une sanction d’une certaine sévérité comme l’interdiction de donner des soins aux assurés pendant une période déterminée.

par Sébastien Fucini
En carrousel matière: 
Oui

Code d’accès d’un téléphone : une convention de déchiffrement ?

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Le code de déverrouillage d’un téléphone portable peut constituer une convention secrète de déchiffrement d’un moyen de cryptologie lorsque ce téléphone est équipé d’un moyen de cryptologie et le refus de le remettre sur réquisition du policier est constitutif du délit de l’article 434-15-2 du code pénal.

par Sébastien Fucini
En carrousel matière: 
Oui

Le maire de Sanary-sur-Mer reconnu coupable de six délits d’atteinte à la probité

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Le 7 septembre 2020, le tribunal correctionnel de Marseille a reconnu notamment le maire de la ville de Sanary-sur-Mer coupable des chefs de détournement de fonds publics, prise illégale d’intérêts, favoritisme et recel de favoritisme et l’a condamné à trois ans d’emprisonnement, dont trente mois assortis du sursis, à la confiscation des biens immobiliers, ainsi qu’à cinq ans de privation de ses droits civils et civiques.

par Julie Gallois
En carrousel matière: 
Oui

Procès [I]Fillon[/I] : rejet des QPC et condamnations

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Le point de départ du délai spécial de prescription des infractions occultes et dissimulées ne porte pas atteinte aux droits et libertés fondamentaux que la constitution garantit.

par Méryl Recotillet
En carrousel matière: 
Oui

Recel d’apologie du terrorisme : renvoi au Conseil constitutionnel

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Dans son arrêt du 24 mars 2020, la Cour de cassation a décidé de renvoyer au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) portant sur la conformité aux droits et libertés que la constitution garantit du délit de recel d’apologie du terrorisme.

par Méryl Recotillet
En carrousel matière: 
Non

Principe [I]ne bis in idem[/I] : rejet du cumul des délits de détention de dépôt d’armes et d’association de malfaiteurs

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Des faits qui procèdent de manière indissociable d’une action unique caractérisée par une seule intention coupable ne peuvent donner lieu, contre le même prévenu, à deux déclarations de culpabilité de nature pénale, fussent-elles concomitantes.

par Sofian Goudjil
En carrousel matière: 
Non

Favoritisme : absence d’imprévisibilité de l’application à l’ordonnance du 6 juin 2005

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La méconnaissance des dispositions de l’ordonnance du 6 juin 2005 relative aux marchés passés par certaines personnes publiques ou privées non soumises au code des marchés publics entre dans les prévisions de l’article 432-14 du code pénal, une telle interprétation étant raisonnablement prévisible à la date des faits.

par Sébastien Fucini
En carrousel matière: 
Oui

Affaire [I]Barbarin[/I] : relaxe en appel pour non-dénonciation de mauvais traitements

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L’obligation sanctionnée par le délit de non-dénonciation de mauvais traitements ne saurait être considérée comme juridiquement maintenue dès lors que l’infraction principale ne peut plus faire l’objet de poursuites en raison de son ancienneté et que l’intérêt protégé par l’article 434-3 n’existe plus.

par Sébastien Fucini
En carrousel matière: 
Oui

La République se vit à visage découvert, le maintien de l’ordre aussi

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En l’état du droit positif, les fonctionnaires de police ou militaires de la gendarmerie appartenant aux services et unités engagés en opération de maintien de l’ordre ne peuvent, au cours de ces opérations, dissimuler leur visage, notamment par le port d’une cagoule.

par Hugues Diaz
En carrousel matière: 
Non

Cryptologie : un code de téléphone n’est pas une convention secrète de déchiffrement

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Selon les juges du fond, si le code de déverrouillage d’un téléphone portable permet d’accéder à ses données, et donc aux messages qu’il contient, il ne permet en revanche pas de déchiffrer des données ou messages cryptés et ne saurait donc être qualifié de convention secrète de déchiffrement ou d’un moyen de cryptologie

par Warren Azoulay
En carrousel matière: 
Oui