La célèbre influenceuse s’est acquittée d’une somme de près de 1,3 million de dollars auprès du gendarme boursier américain, la Securities and Exchange Commission, parce qu’elle n’avait pas précisé qu’elle avait été rémunérée pour l’une de ses publications sur un réseau social vantant l’intérêt d’un crypto-actif. Cette affaire, loin d’être isolée, permet de s’interroger, dans un contexte de baisse générale des marchés financiers, sur les risques de l’intervention des « finfluenceurs » sur les réseaux sociaux.
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La célèbre influenceuse s’est acquittée d’une somme de près de 1,3 million de dollars auprès du gendarme boursier américain, la Securities and Exchange Commission, parce qu’elle n’avait pas précisé qu’elle avait été rémunérée pour l’une de ses publications sur un réseau social vantant l’intérêt d’un crypto-actif. Cette affaire, loin d’être isolée, permet de s’interroger, dans un contexte de baisse générale des marchés financiers, sur les risques de l’intervention des « finfluenceurs » sur les réseaux sociaux.