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Le quotidien du droit en ligne

Civil

Panorama rapide de l’actualité « Civil » de la semaine du 16 janvier 2023

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Sélection de l’actualité « Civil » marquante de la semaine du 16 janvier 2023.

par Nicolas Hoffschir, Maître de conférences à l’Université d’Orléans et Cédric Hélaine, Docteur en droit, Chargé d’enseignement à l’Université d’Aix-Marseille

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Actions de groupe : l’Assemblée relance le chantier

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En 2020, un rapport parlementaire faisait un bilan très mitigé des procédures d’action de groupe, et formulait plusieurs préconisations pour les dynamiser. Trois ans après, Laurence Vichnievsky et Philippe Gosselin, les deux députés à l’origine du rapport, relancent leurs travaux : l’Assemblée étudiera leur proposition de loi début mars.

par Pierre Januel, Journaliste
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Taux horaire d’honoraires d’avocats et clause abusive

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Dans un arrêt C-395/21, D.V. c/ M.A., la Cour de justice de l’Union européenne répond à six questions préjudicielles autour d’une clause de taux horaire dans une convention d’honoraires d’avocat et précise ainsi les conséquences de l’éradication de ladite clause.

par Cédric Hélaine, Docteur en droit, Juriste assistant placé auprès du Premier Président de la Cour d'appel d'Aix-en-Provence
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Avocat (Honoraires)
Clause abusive

De la conformité du bon de commande : de la rigueur, encore et toujours

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Dans un arrêt rendu le 11 janvier, la première chambre civile de la Cour de cassation rappelle sa jurisprudence constante sur l’inutilité d’un prix unitaire dans un bon de commande lors d’un démarchage à domicile ainsi que sur la nécessité du respect du contradictoire d’un moyen soulevé d’office.

par Cédric Hélaine, Docteur en droit, Juriste assistant placé auprès du Premier Président de la Cour d'appel d'Aix-en-Provence

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Contrat (Nullité)
Vente (Formation)

De l’art d’une bonne gestion de la prescription en matière de cautionnement

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Dans un arrêt rendu le 11 janvier 2023, la première chambre civile de la Cour de cassation vient rappeler quelques constantes autour de la prescription extinctive en matière notamment de mise en demeure et de causes d’interruption.

par Cédric Hélaine, Docteur en droit, Juriste assistant placé auprès du Premier Président de la Cour d'appel d'Aix-en-Provence

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Matières OASIS: 
Cautionnement (Effets)
Mise en demeure
Prescription extinctive

Panorama rapide de l’actualité « Civil » de la semaine du 9 janvier 2023

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Sélection de l’actualité « Civil » marquante de la semaine du 9 janvier 2023.

par Cédric Hélaine, Docteur en droit, Juriste assistant placé auprès du premier président de la Cour d’appel d’Aix-en-Provence et Nicolas Hoffschir, Maître de conférences à l’Université d’Orléans

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Avant-projet de réforme des contrats spéciaux : observations sur la garantie des vices en matière de vente sous le prisme du droit de la consommation (2[SUP]e[/SUP] partie)

La démarche générale adoptée dans le cadre de ces observations est guidée par l’éclairage du droit de la consommation. Celui-ci se justifie à plusieurs égards. Tout d’abord, la transversalité du droit de la consommation, dont l’application est déclenchée par la qualité des parties et non l’objet du contrat, le conduit à cumuler ses dispositions avec la très grande majorité des contrats spéciaux du code civil. Ce cumul est d’autant plus fréquent que l’essentiel des règles de consommation sont des règles contractuelles. Ces interactions obligent dès lors à s’assurer de leur cohérence entre elles. L’importance et la technicité de l’élaboration de ce droit, pourtant jeune, sont de nature, ensuite, à révéler de nouveaux besoins législatifs susceptibles de profiter au droit général des contrats spéciaux. La prise en compte du numérique dans les contrats de consommation en constitue un exemple patent. Enfin, l’origine européenne du droit de la consommation oblige à s’assurer de l’absence de conflits de normes, tout en veillant à leur parfaite articulation. Par conséquent, l’éclairage de l’avant-projet de réforme par le droit de la consommation, loin de transposer au droit commun les mécanismes spécifiques de protection du consommateur, vise à s’assurer d’une coexistence paisible, source de sécurité juridique.

Si l’essentiel des contrats spéciaux du code civil sont susceptibles d’être appréhendés par le prisme du droit de la consommation, seule sera abordée dans ces observations la garantie des vices en matière de vente qui constitue une question centrale du régime de la vente et sur laquelle l’éclairage du droit de la consommation est le plus pertinent.

Nos remerciements vont aux étudiants du Master 2 Droit de la consommation et des pratiques commerciales de CY Cergy Paris Université, adossé à la Chaire Droit de la consommation, qui ont aidé aux recherches du contentieux ainsi qu’à Ronan Bretel, post doctorant au sein de la Chaire Droit de la consommation.

 

V. 1re partie : Avant-projet de réforme des contrats spéciaux : observations sur la garantie des vices en matière de vente sous le prisme du droit de la consommation

Illustration: 
Matières OASIS: 
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La démarche générale adoptée dans le cadre de ces observations est guidée par l’éclairage du droit de la consommation. Celui-ci se justifie à plusieurs égards. Tout d’abord, la transversalité du droit de la consommation, dont l’application est déclenchée par la qualité des parties et non l’objet du contrat, le conduit à cumuler ses dispositions avec la très grande majorité des contrats spéciaux du code civil. Ce cumul est d’autant plus fréquent que l’essentiel des règles de consommation sont des règles contractuelles. Ces interactions obligent dès lors à s’assurer de leur cohérence entre elles. L’importance et la technicité de l’élaboration de ce droit, pourtant jeune, sont de nature, ensuite, à révéler de nouveaux besoins législatifs susceptibles de profiter au droit général des contrats spéciaux. La prise en compte du numérique dans les contrats de consommation en constitue un exemple patent. Enfin, l’origine européenne du droit de la consommation oblige à s’assurer de l’absence de conflits de normes, tout en veillant à leur parfaite articulation. Par conséquent, l’éclairage de l’avant-projet de réforme par le droit de la consommation, loin de transposer au droit commun les mécanismes spécifiques de protection du consommateur, vise à s’assurer d’une coexistence paisible, source de sécurité juridique.

Si l’essentiel des contrats spéciaux du code civil sont susceptibles d’être appréhendés par le prisme du droit de la consommation, seule sera abordée dans ces observations la garantie des vices en matière de vente qui constitue une question centrale du régime de la vente et sur laquelle l’éclairage du droit de la consommation est le plus pertinent.

Nos remerciements vont aux étudiants du Master 2 Droit de la consommation et des pratiques commerciales de CY Cergy Paris Université, adossé à la Chaire Droit de la consommation, qui ont aidé aux recherches du contentieux ainsi qu’à Ronan Bretel, post doctorant au sein de la Chaire Droit de la consommation.

 

V. 1re partie : Avant-projet de réforme des contrats spéciaux : observations sur la garantie des vices en matière de vente sous le prisme du droit de la consommation

L’ordonnance sur requête et la décision fixant la rémunération du conciliateur

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Le président du tribunal de commerce, après avoir préalablement fixé les conditions de la rémunération du conciliateur, en arrête le montant par une ordonnance rendue sur requête. La régularité de cette ordonnance, qui peut être frappée par le débiteur, le conciliateur et le ministère public, d’un recours devant le premier président de la cour d’appel, n’est pas subordonnée à l’organisation préalable d’un débat contradictoire.

par Thibault Goujon-Bethan, Professeur de droit privé et sciences criminelles à l’Université Jean Moulin Lyon 3, Directeur du centre Patrimoine et Contrats – Équipe Louis Josserand
En carrousel matière: 
Oui
Matières OASIS: 
Conciliation (Entreprise en difficulté)
Ordonnance sur requête (Procédure civile)

Avant-projet de réforme des contrats spéciaux : observations sur la garantie des vices en matière de vente sous le prisme du droit de la consommation (1[SUP]re[/SUP] partie)

La démarche générale adoptée dans le cadre de ces observations est guidée par l’éclairage du droit de la consommation. Celui-ci se justifie à plusieurs égards. Tout d’abord, la transversalité du droit de la consommation, dont l’application est déclenchée par la qualité des parties et non l’objet du contrat, le conduit à cumuler ses dispositions avec la très grande majorité des contrats spéciaux du code civil. Ce cumul est d’autant plus fréquent que l’essentiel des règles de consommation sont des règles contractuelles. Ces interactions obligent dès lors à s’assurer de leur cohérence entre elles. L’importance et la technicité de l’élaboration de ce droit, pourtant jeune, sont de nature, ensuite, à révéler de nouveaux besoins législatifs susceptibles de profiter au droit général des contrats spéciaux. La prise en compte du numérique dans les contrats de consommation en constitue un exemple patent. Enfin, l’origine européenne du droit de la consommation oblige à s’assurer de l’absence de conflits de normes, tout en veillant à leur parfaite articulation. Par conséquent, l’éclairage de l’avant-projet de réforme par le droit de la consommation, loin de transposer au droit commun les mécanismes spécifiques de protection du consommateur, vise à s’assurer d’une coexistence paisible, source de sécurité juridique.

Si l’essentiel des contrats spéciaux du code civil sont susceptibles d’être appréhendés par le prisme du droit de la consommation, seule sera abordée dans ces observations la garantie des vices en matière de vente qui constitue une question centrale du régime de la vente et sur laquelle l’éclairage du droit de la consommation est le plus pertinent.

Nos remerciements vont aux étudiants du Master 2 Droit de la consommation et des pratiques commerciales de CY Cergy Paris Université, adossé à la Chaire Droit de la consommation, qui ont aidé aux recherches du contentieux ainsi qu’à Ronan Bretel, post doctorant au sein de la Chaire Droit de la consommation.

 

V. 2nde partie : Avant-projet de réforme des contrats spéciaux : observations sur la garantie des vices en matière de vente sous le prisme du droit de la consommation

Illustration: 
Matières OASIS: 
Néant

La démarche générale adoptée dans le cadre de ces observations est guidée par l’éclairage du droit de la consommation. Celui-ci se justifie à plusieurs égards. Tout d’abord, la transversalité du droit de la consommation, dont l’application est déclenchée par la qualité des parties et non l’objet du contrat, le conduit à cumuler ses dispositions avec la très grande majorité des contrats spéciaux du code civil. Ce cumul est d’autant plus fréquent que l’essentiel des règles de consommation sont des règles contractuelles. Ces interactions obligent dès lors à s’assurer de leur cohérence entre elles. L’importance et la technicité de l’élaboration de ce droit, pourtant jeune, sont de nature, ensuite, à révéler de nouveaux besoins législatifs susceptibles de profiter au droit général des contrats spéciaux. La prise en compte du numérique dans les contrats de consommation en constitue un exemple patent. Enfin, l’origine européenne du droit de la consommation oblige à s’assurer de l’absence de conflits de normes, tout en veillant à leur parfaite articulation. Par conséquent, l’éclairage de l’avant-projet de réforme par le droit de la consommation, loin de transposer au droit commun les mécanismes spécifiques de protection du consommateur, vise à s’assurer d’une coexistence paisible, source de sécurité juridique.

Si l’essentiel des contrats spéciaux du code civil sont susceptibles d’être appréhendés par le prisme du droit de la consommation, seule sera abordée dans ces observations la garantie des vices en matière de vente qui constitue une question centrale du régime de la vente et sur laquelle l’éclairage du droit de la consommation est le plus pertinent.

Nos remerciements vont aux étudiants du Master 2 Droit de la consommation et des pratiques commerciales de CY Cergy Paris Université, adossé à la Chaire Droit de la consommation, qui ont aidé aux recherches du contentieux ainsi qu’à Ronan Bretel, post doctorant au sein de la Chaire Droit de la consommation.

 

V. 2nde partie : Avant-projet de réforme des contrats spéciaux : observations sur la garantie des vices en matière de vente sous le prisme du droit de la consommation

Mediator : la Cour de cassation transmet une QPC concernant le régime de l’exonération pour risque de développement

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La Cour de cassation a décidé de renvoyer au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité portant sur le point de savoir si, pour exonérer la responsabilité du fabricant d’un produit défectueux sur le fondement du risque de développement, la différence de traitement existant entre les victimes de dommages corporels résultant d’un produit de santé, selon que ce produit est ou non issu du corps humain, est contraire au principe d’égalité devant la loi.

par Jérôme Peigné, professeur à l’université Paris Cité
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Matières OASIS: 
Responsabilité du fait des produits défectueux