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Le quotidien du droit en ligne

Affaires | Consommation

Le délit d’obsolescence programmée

D. 2015, 1944

L’avocat est un consommateur comme les autres

La Cour de justice de l’Union européenne vient de juger que les dispositions de la directive relative aux clauses abusives dans les contrats conclus avec les consommateurs sont applicables à l’avocat.

par Anne Portmann
En carrousel matière: 
Oui

Au Journal officiel du vendredi 4 septembre 2015

À signaler, notamment au Journal officiel du 4 septembre 2015.

Protection contre le démarchage : exclusion du vendeur d’un fonds de commerce

Pour un commerçant, la vente de son fonds de commerce est en rapport direct avec son activité, excluant sa protection au titre de l’article L. 121-22 du code de la consommation.

par Nicolas Kilgus
En carrousel matière: 
Non

Surendettement : sort des créances du Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et autres infractions

En application de l’article 706-11 du code de procédure pénale, le Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et autres infractions (FGTI) peut se prévaloir de l’exclusion prévue à l’article L. 333-1, 2°, du code de la consommation.

par Valérie Avena-Robardet
En carrousel matière: 
Non

Publication du décret sur la mobilité bancaire

Un décret du 8 juillet 2015 fixe à dix jours le délai dont disposent les émetteurs de prélèvement pour prendre en compte les nouvelles coordonnées bancaires de leurs clients et en informer ceux-ci, dans le cadre du service d’aide à la mobilité bancaire institué par la loi relative à la consommation du 17 mars 2014.

par Xavier Delpech
En carrousel matière: 
Non

Report du point de départ du délai de forclusion en cas de rééchelonnement judiciaire

Le délai de suspension accordé en application de l’article L. 313-12 du code de la consommation emporte le report du point de départ du délai de forclusion au premier incident de paiement non régularisé survenu après l’expiration de ce délai.

par Valérie Avena-Robardet
En carrousel matière: 
Non

L’étiquetage ne doit pas induire en erreur le consommateur sur les ingrédients d’une denrée alimentaire

Par un arrêt du 4 juin 2015, la Cour de justice de l’Union européenne rappelle que l’étiquetage d’une denrée alimentaire ne doit pas induire le consommateur en erreur, la liste d’ingrédients, même si elle est exacte et exhaustive, ne permettant pas de corriger l’impression erronée ou équivoque de cet étiquetage.

par Matthieu Dary
En carrousel matière: 
Non