Accueil
Le quotidien du droit en ligne

Droit des étrangers | Asile

Retrait du statut de réfugié et mines antipersonnel

Gratuit: 
Payant

L’aide apportée à l’emploi de mines antipersonnel ne conduit pas automatiquement au retrait du statut de réfugié.

par Manuela Brillat, Avocat au barreau de Strasbourg
En carrousel matière: 
Non
Matières OASIS: 
Néant

La CJUE et la protection internationale des mineurs

Gratuit: 
Payant

La Cour de justice de l’Union européenne analyse, à travers quatre affaires distinctes, les conditions d’application du droit de l’Union à la protection internationale des mineurs.

par Jean-Marc Pastor
En carrousel matière: 
Non
Matières OASIS: 
Mineur

Contrat de travail, privilège de nationalité et réfugié

Gratuit: 
Payant

Par deux arrêts du 29 juin 2022, la Cour de cassation retient, en substance, qu’un ressortissant étranger réfugié en France peut, à certaines conditions, se prévaloir de l’article 14 du code civil, qui prévoit un privilège de juridiction.

par François Mélin, Conseiller à la cour d'appel de Paris
En carrousel matière: 
Non
Matières OASIS: 
Compétence internationale (Procédure civile)

Pas d’exclusion du statut de réfugié en cas de crime commis dans un but politique

Gratuit: 
Payant

Précisant le b) du F de l’article 1er de la convention de Genève, le Conseil d’État juge qu’un demandeur d’asile ne peut être exclu du statut de réfugié lorsqu’un crime grave a été commis dans un but principalement politique.

par Emmanuelle Maupin
En carrousel matière: 
Non
Matières OASIS: 
Néant

Le non-réacheminement d’un étranger n’est pas toujours imputable à la compagnie aérienne

Gratuit: 
Payant

Si le transporteur aérien est tenu d’assurer le réacheminement d’un étranger non admis en France, le comportement de ce dernier rendant ainsi impossible son réacheminement constitue une circonstance exonératoire.

par Emmanuelle Maupin
En carrousel matière: 
Non
Matières OASIS: 
Néant

Quel préfet est compétent pour prendre une obligation de quitter le territoire ?

Gratuit: 
Payant

Pour l’application des dispositions du I de l’article L. 511-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (CESEDA), désormais reprises à l’article L. 611-1 du même code, le préfet de département compétent pour prendre la mesure d’éloignement est-il, exclusivement, soit le préfet du lieu de domicile de l’étranger, soit le préfet du lieu de l’interpellation, ou y a-t-il lieu de faire varier la compétence selon le fondement retenu pour prononcer l’obligation de quitter le territoire français ?

par Emmanuelle Maupin
En carrousel matière: 
Non
Matières OASIS: 
Néant

L’objection de conscience, motif d’octroi de la qualité de réfugié

Gratuit: 
Payant

Le recours d’un Turc d’origine kurde contre le rejet de sa demande d’asile est l’occasion pour la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) de préciser les modalités d’évaluation d’une telle demande fondée sur le motif de l’objection de conscience au service militaire.

par Emmanuelle Maupin
En carrousel matière: 
Non
Matières OASIS: 
Néant

Contestation d’une décision d’interdiction de retour sur le territoire français

Gratuit: 
Payant

Dans un avis contentieux du 9 juin, le Conseil d’État précise la procédure applicable à la contestation, d’une part, d’une décision d’interdiction de retour sur le territoire français et, d’autre part, de la décision prolongeant cette interdiction.

par Emmanuelle Maupin
En carrousel matière: 
Non
Matières OASIS: 
Néant

Les obligations de l’administration pour assurer la réunification de la famille des réfugiés

Gratuit: 
Payant

Le Conseil d’État étend le champ de l’approche dynamique de la légalité en matière de visas. Les efforts de l’administration en matière de délivrance des visas de réunification familiale doivent être appréciés par le juge à la date à laquelle il statue.

par Marie-Christine de Montecler, Rédactrice en chef Actualité juridique droit administratif
En carrousel matière: 
Non
Matières OASIS: 
Néant

Autorisation de séjour d’un mineur entré irrégulièrement en France

Gratuit: 
Payant

Le mineur étranger entré irrégulièrement en France doit présenter une demande de titre de séjour dans les deux mois qui suivent son dix-huitième anniversaire. Le Conseil d’État estime qu’est sans incidence sur cette obligation le fait que le mineur ait été pris en charge par l’aide sociale à l’enfance (ASE) et pouvait se voir délivrer une carte de séjour temporaire.

par Emmanuelle Maupin
En carrousel matière: 
Non
Matières OASIS: 
Néant