Accueil
Le quotidien du droit en ligne

Pénal | Jugement

Le « crime passionnel » au XXI[SUP]e[/SUP] siècle existe-t-il encore ?

Gratuit: 
Gratuit

Peut-on utiliser l’expression « crime passionnel » en France en 2018 ? Hors sujet disent les uns, dans un cadre précis rétorquent les autres, dangereux pensent encore les derniers. Et si tous disaient la même chose ? 

par Anaïs Coignac
En carrousel matière: 
Oui

Trouble mental irréversible au cours du jugement : relaxe impossible

Gratuit: 
Gratuit

Lorsqu’il ne peut être statué sur la culpabilité d’une personne en raison de l’altération de ses facultés physiques ou psychiques survenue après les faits, la juridiction pénale, qui ne peut interrompre le cours de la justice, est tenue de renvoyer l’affaire à une audience ultérieure.

par Sébastien Fucini
En carrousel matière: 
Oui

Condamnation à une amende civile : quelle motivation ?

Gratuit: 
Gratuit

Relatif au choix du montant d’une amende civile, cet arrêt de cassation partielle illustre les importantes conséquences pratiques qui découlent de la jurisprudence récente relative à la motivation des peines d’amende.

par Dorothée Goetz
En carrousel matière: 
Oui

L’autorité « absolue » de chose jugée au pénal sur le civil et ses limites

Gratuit: 
Gratuit

Les décisions pénales ont au civil autorité absolue à l’égard de tous en ce qui concerne ce qui a été jugé quant à l’existence du fait incriminé et la culpabilité de celui auquel le fait est imputé. En revanche, le juge civil, saisi sur le fondement des articles 706-3 et suivants du code de procédure pénale, n’est pas lié par la décision qui a statué sur l’action civile.

par Mehdi Kebir
En carrousel matière: 
Oui

Sécurité juridique et instabilité jurisprudentielle, selon la CEDH

Gratuit: 
Gratuit

Selon la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), l’évolution jurisprudentielle de la Cour de cassation, ayant entraîné en l’espèce l’irrecevabilité d’une citation directe, n’est pas contraire à la Convention européenne lorsque celle-ci ne procède pas d’une circonstance imprévisible.

par Hugues Diaz
En carrousel matière: 
Oui

Précisions sur la motivation de la peine de confiscation

Gratuit: 
Gratuit

Il incombe au juge qui décide de confisquer un bien de s’assurer d’abord de son caractère confiscable en application des conditions légales, de préciser ensuite la nature et l’origine de ce bien ainsi que le fondement de la mesure et, le cas échéant, de s’expliquer sur la nécessité et la proportionnalité de l’atteinte portée au droit de propriété du prévenu.

par Méryl Recotillet
En carrousel matière: 
Oui

Fonctions successives et impartialité : du refus d’homologation d’une CRPC au placement en détention provisoire

Gratuit: 
Gratuit

Le refus du juge d’homologuer une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité ne fait pas obstacle à ce qu’il intervienne par la suite, dans la même affaire, en qualité de juge des libertés et de la détention, pour ordonner le placement en détention provisoire du même individu.

par Warren Azoulay
En carrousel matière: 
Oui

La motivation des peines criminelles n’est pas une exigence conventionnelle

Gratuit: 
Gratuit

Il ne résulte d’aucune disposition de la Convention européenne des droits de l’homme que la cour d’assises, après avoir statué sur la culpabilité, soit tenue de motiver la peine qu’elle prononce.

par Cloé Fonteix
En carrousel matière: 
Oui

Non transmission de la QPC relative au refus de restitution d’un bien constituant le produit direct ou indirect d’une infraction

Gratuit: 
Payant

La chambre criminelle considère qu’il n’y a pas lieu à renvoyer au Conseil constitutionnel la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) relative au refus de restitution d’un bien constituant le produit direct ou indirect d’une infraction prévu par l’article 481 du code de procédure pénale. 

par Dorothée Goetz
En carrousel matière: 
Non

Procès des nationalistes corses : « la violence a sauvé le peuple corse »

Gratuit: 
Gratuit

Huit hommes ont été jugés, du 11 au 22 juin dernier, par la cour d’assises spécialement composée pour des attentats contre des maisons en 2012. Six ont été condamnés, dont trois incarcérés. Fernand Agostini et Pierre Paoli, principal accusé car présenté comme un ancien chef du FLNC en Corse du Sud, ont été acquittés. Dernier épisode : les plaidoiries et le verdict.

par Marine Babonneau
En carrousel matière: 
Oui