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Le quotidien du droit en ligne

Pénal | Jugement

L’accusé n’a pas toujours la parole en dernier

La mise en œuvre des articles 328 et 312 du code de procédure pénale entraîne l’inapplication de la règle selon laquelle l’accusé ou son conseil ont toujours la parole en dernier.

par Cécile Benelli-de Bénazé
En carrousel matière: 
Oui

Le recours aux tests osseux, une légalisation toujours décriée

Les juges les utilisent en cas de doute sur la minorité des migrants. Les tests d’âge osseux pris en compte dans les tribunaux, puis par les services de protection de l’enfance jusqu’aux conseils généraux sont désormais inscrits dans la loi sur la protection de l’enfance. Ils sont pourtant dénoncés par quantité d’administrations, du Défenseur des droits à la Commission nationale consultative des droits de l’homme. Que cela révèle-t-il ? Retour sur une méthode largement décriée.

Auteur externe: 
par Anaïs Coignac
En carrousel matière: 
Oui

Le NSU, une affaire emblématique des violences d’extrême droite en Allemagne

Beate Zschäpe, unique rescapée du trio responsable de dix meurtres racistes outre-Rhin entre 1998 et 2011, a rompu son silence devant un tribunal munichois. Sans lever les zones d’ombre d’un procès qui illustre les difficultés de la justice allemande à poursuivre les violences d’extrême droite.

par Gilles Bouvaist à Berlin
En carrousel matière: 
Oui

Terrorisme : rappel des règles de compétence des juridictions parisiennes

Lorsque la cour d’appel de Paris constate que les faits dont elle est saisie en application de l’article 706-17 du code de procédure pénale ne constituent pas des actes de terrorisme et ne relèvent pas de sa compétence à un autre titre, elle doit se déclarer incompétente et renvoyer le dossier au ministère public.

par Julie Gallois
En carrousel matière: 
Oui

Des limites de l’évocation par la cour d’appel

Une cour d’appel ne peut, sans violer l’article 520 du code de procédure pénale, confirmer un jugement d’incompétence ratione loci et évoquer le fond du litige.

par Lucile Priou-Alibert
En carrousel matière: 
Non

Le cinéma à la barre : [I]Traquenard[/I] ([i]Party Girl[/i]), de Nicholas Ray

Auteur: 
Thomas Klotz

Dans l’imaginaire hollywoodien, l’avocat est rarement un personnage complexe. Il se contente de se brûler les ailes au contact du crime et au mieux tend à procurer l’impunité à un monde de cruauté et de transgression. Si l’avocat est très présent dans bon nombre de productions, on ne peut que constater un déficit d’incarnation.

Procédure appliquée devant la cour d’assises : vers un allègement du contrôle de la Cour de cassation ?

Dans deux arrêts de rejet rendus le même jour et tous deux publiés au bulletin, la Cour de cassation se prononce sur différents aspects de la procédure suivie devant la cour d’assises.

par Dorothée Goetz
En carrousel matière: 
Oui

La cinéma à la barre : [i]Witness for the Prosecution[/i], de Billy Wilder (1957)

L’homme de cinéma Charles Laughton a livré deux chefs d’œuvre. L’un en 1955 : La Nuit du chasseur, seul film qu’il réalisera, mais dont les quatre-vingt-dix minutes concentrent la fertilité d’une filmographie tout entière. Sidérant comme les phalanges évangélistes et tatouées de Robert Mitchum, ce miracle reste l’un des plus enseignés dans les écoles de cinéma. L’autre en 1957 : son interprétation de l’avocat Sir Wilfrid dans le film Witness for the Prosecution (Témoin à charge), drame qui concentre l’intérêt de tous les films judiciaires réunis.

Interruption de la prescription par un acte « inexistant » ?

C’est à bon droit qu’une cour d’appel écarte une exception de prescription de l’action publique fondée sur l’inexistence d’un acte dont la nullité n’a pas été sollicitée selon les formes prévues par la loi.

par Cloé Fonteix
En carrousel matière: 
Oui

480 000 € pour 2 558 jours de prison

La cour d’appel de Nîmes a alloué un peu plus de 480 000 € à deux hommes, condamnés – à tort – à 20 ans de prison pour meurtre en 2003 et finalement acquittés en 2013.

par Marine Babonneau
En carrousel matière: 
Oui