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Le quotidien du droit en ligne

Pénal

Saisine de la CIVI : point de départ du délai d’un an

Dans le cas spécifique où la juridiction pénale alloue à la victime des dommages-intérêts, le délai d’un an imposé à celle-ci pour saisir la Commission d’indemnisation des victimes d’infractions (CIVI) court à compter de la date de l’avis qui lui avait été donné.

par Nicolas Kilgus

Les raisons de la peine

A propos de l'arrêt CEDH, 10 janv. 2013, n° 60995/09, V. c/ France

Dr. pénal, mars 2013, p. 9

« Casse toi, pov’con » : l’offense au chef de l’État à l’épreuve de la CEDH

La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) estime que la condamnation du requérant du chef d’offense au président de la République a méconnu sa liberté d’expression mais refuse de se prononcer sur la nécessité d’une abrogation de ce délit.

par Olivier Bachelet

Interprétation des conditions d’exécution d’un mandat d’arrêt européen

Par un arrêt du 26 février 2013, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) répond à une question préjudicielle relative à l’exécution d’un mandat d’arrêt européen délivré en vue de l’exécution d’une peine de prison prononcée par défaut.

par Nelly Devouèze

La situation administrative de l’agent public sous le coup d’une mesure judiciaire de privation de liberté : analyse de jurisprudence

La “judiciarisation” des relations sociales, adossée à la responsabilisation des décideurs publics, conduit à un changement profond de la place du fonctionnaire dans la société. Son action est de plus en plus contrôlée, et il fait l’objet de poursuites plus nombreuses, notamment devant le juge pénal. Dès lors, il faut s’interroger sur les conséquences d’une mesure judiciaire de privation de liberté prise à l’encontre d’un agent public.

Garde à vue préventive et droit à la sûreté

La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) considère qu’un placement préventif en garde à vue n’est pas compatible avec le droit à la sûreté mais tolère une telle mesure en cas de méconnaissance d’une mesure policière de surveillance.

par Olivier Bachelet

L’étranger en rétention doit pouvoir contacter différentes associations

La première chambre civile juge qu’un étranger en rétention doit être mis en mesure d’exercer son droit de contacter différentes associations susceptibles d’intervenir en rétention. Selon la cour d’appel de Douai, l’effectivité de ce droit nécessite que ces associations soient à même d’intervenir concrètement et effectivement au centre de rétention concerné.

par Caroline Fleuriot

Entraide judiciaire européenne : contestation d’une décision de gel de preuves

Il résulte des dispositions de l’article 695-9-22 du code de procédure pénale que toute personne qui prétend avoir un droit sur un bien gelé peut former un recours par voie de requête remise au greffe de la chambre de l’instruction dans les dix jours à compter de la date de mise à exécution de la décision considérée. 

par Sébastien Fucini

CJUE : principe [i]ne bis in idem[/I] et cumul de sanctions

Par un arrêt du 26 février 2013, la CJUE répond à une question préjudicielle portant sur l’interprétation du principe ne bis in idem en droit de l’Union.

par Nelly Devouèze