Accueil
Le quotidien du droit en ligne

Administratif | Contentieux administratif

Absence du commissaire du gouvernement au délibéré et mention obligatoire

L’absence du commissaire du gouvernement au délibéré n’est pas une mention obligatoire, précise le Conseil d’État dans un arrêt du 14 mai 2008.

par E. Royer

Exécution des condamnations pécuniaires à l’encontre des personnes publiques : nouveau cadre réglementaire

Pris en exécution d’un arrêt du Conseil d’État du 3 septembre 2007, un décret du 20 mai 2008 réduit les délais d’ordonnancement par les personnes publiques des sommes dues à la suite du prononcé d’une décision de justice.

par E. Royer

Forte hausse des recours devant les CAA en 2007

Les statistiques d’activité de la juridiction administrative montrent une décrue des délais moyens de jugement pour les tribunaux administratifs et le Conseil d’État mais une progression de ceux-ci pour les cours administratives d’appel en raison d’une forte hausse des recours devant elles.

par M.-C. de Montecler

Mise en place des tribunaux administratifs de Saint-Barthélemy et Saint-Martin

Un décret du 13 mai 2008 met en place les tribunaux administratifs de Saint-Barthélemy et Saint-Martin et adapte en ce sens les dispositions du code de justice administrative.

par E. Royer

Au sommaire de l’AJDA du 5 mai 2008

L’AJDA du 5 mai 2008 (numéro 17) est en ligne pour les abonnés de la base matière « Droit administratif ».

par E. Royer

Exercice successif de la fonction de juge des référés et principe d’impartialité

Le principe d’impartialité est respecté lorsqu’un même juge des référés se prononce pour la deuxième fois sur une demande du même requérant tendant à la suspension d’une décision administrative.

par Z. Aït-El-Kadi

Procédure de licenciement d’un agent de la Banque de France et référé-suspension

La décision de licencier pour motif personnel un agent de la Banque de France en CDI doit être regardée comme entièrement exécutée à la date à laquelle le licenciement lui est notifié par son employeur.

par C. de Gaudemont

Constitution de partie civile et prescription quadriennale

Une constitution de partie civile tendant à l’obtention de dommages et intérêts, effectuée dans le cadre d’une instruction pénale déjà ouverte, interrompt le cours de la prescription quadriennale dès lors qu’elle porte sur le fait générateur, l’existence, le montant ou le paiement d’une créance sur une collectivité publique.

par C. Faivre